Chez Apoticaria, nous vous avons préparé la liste de diverses pratiques pour prendre soin de notre intestin et pour cultiver une flore intestinale florissante.
]]>Une flore intestinale équilibrée et un fonctionnement optimal de l'intestin sont essentiels pour avoir une digestion efficace, une absorption adéquate des nutriments ainsi que pour assurer un système immunitaire fort. Cependant, alors que l’on prend des habitudes alimentaires parfois déséquilibrées, que le stress est omniprésent et que les antibiotiques sont souvent utilisés de façon excessive, la santé intestinale peut être compromise !
C’est pourquoi il est crucial de connaître quels sont les moyens simples de retrouver un intestin en bonne santé. Chez Apoticaria, nous vous avons préparé la liste de diverses pratiques pour prendre soin de notre intestin et pour cultiver une flore intestinale florissante.
Nous avons aussi prévu de vous parler du Trinkmoor pour votre intestin !
Comme vous le savez, maintenir un intestin en bonne santé est essentiel pour le bien-être général et la santé digestive. Voici quelques conseils simples à mettre en place pour vous aider à favoriser l’ensemble et ce sans grand changement dans votre quotidien !
Adoptez une alimentation riche en fibres, en fruits, en légumes, en grains entiers et en aliments fermentés comme le yaourt probiotique et le kéfir. Ces aliments favorisent une flore intestinale saine et aident à réguler le transit intestinal.
Nous ne le disons jamais assez : buvez suffisamment d'eau tout au long de la journée pour maintenir une hydratation optimale, ce qui est crucial pour la santé intestinale.
Réduisez votre consommation d'aliments transformés, riches en graisses saturées et en sucres ajoutés car ils peuvent perturber l'équilibre de la flore intestinale.
Intégrez des aliments riches en probiotiques dans votre alimentation quotidienne, comme le yaourt nature, le kimchi, le miso et le tempeh ou envisagez de prendre des suppléments probiotiques pour favoriser la croissance des bonnes bactéries intestinales.
N’oubliez pas que le stress joue un rôle essentiel dans notre état de santé général et ce sur de nombreux plans. Encore une fois, il n’est pas anodin qu’une personne fréquemment stressée puisse ressentir des effets négatifs sur sa santé intestinale ! Si cela vous concerne, nous vous conseillons de pratiquer des techniques de gestion du stress telles que la méditation, le yoga, la respiration profonde et la relaxation pour maintenir un équilibre mental et physique ; vous pourrez rapidement constater les résultats.
Eh oui ! L'exercice physique régulier favorise la motilité intestinale et contribue à une meilleure santé digestive globale.
Utilisez les antibiotiques avec prudence et uniquement lorsqu’ils sont prescrits par un professionnel de la santé car ils peuvent perturber l'équilibre de la flore intestinale.
Assurez-vous de dormir suffisamment chaque nuit ! Le sommeil est crucial pour la régénération cellulaire et la santé intestinale.
En cas de problèmes persistants tels que des douleurs abdominales, des ballonnements, des diarrhées ou des constipations fréquentes, consultez un professionnel de la santé pour réaliser un diagnostic et discuter d’un traitement approprié.
Il manque le 10ème conseil, n’est-ce pas ? Il s’agit en effet de la prise de Trinkmoor. Pour la santé de votre intestin, cette formule est idéale ; nous avons donc souhaité vous en parler de façon plus approfondie.
Découvrez le secret ancestral pour prendre soin de votre intestin avec le Trinkmoor de SonnenMoor ! Ce concentré de boue naturel, extrait des strates les plus riches du marécage de Leopold près de Salzbourg, Autriche, est une véritable bénédiction pour votre santé intestinale. Approuvé par le ministère de la Santé autrichien en 1997, ce produit est le fruit d'un processus méticuleux de récolte et de conditionnement, garantissant sa pureté et sa qualité.
La tourbe liquide Trinkmoor est une source naturelle de sels minéraux et d'oligo-éléments essentiels tels que le fer, le calcium et le magnésium, qui sont indispensables au bon fonctionnement de votre organisme. Et le meilleur dans tout ça ? Aucun additif chimique n'est ajouté, garantissant ainsi une expérience pure et authentique à chaque gorgée.
Pour intégrer ce précieux élixir à votre routine quotidienne, rien de plus simple. Après votre petit-déjeuner et en fin d'après-midi, mélangez 10 ml de Trinkmoor avec 1/8 de litre d'eau, un jus de fruit ou une infusion de votre choix. Sa neutralité en arôme et en goût vous permet de l'associer harmonieusement à toutes sortes de tisanes, vous offrant ainsi une expérience agréable et bénéfique pour votre bien-être intestinal.
Quels que soient les conseils que vous choisissez de suivre, chacun d’eux est assurément efficace pour votre santé globale et celle de votre intestin !
]]>Connu depuis 1075 avant J-C, pour ses nombreux bienfaits, le soufre organique est un métabolite naturellement présent dans la nature et biodisponible pour l’organisme. Il est le quatrième élément le plus important dans le corps et se trouve dans la quasi-totalité de nos cellules ; il est capable de se lier avec presque tous les autres minéraux.
]]>Cette substance sans odeur a cependant un léger goût d’amertume.
Entièrement naturelle, elle est directement absorbée par l'organisme.
Le soufre organique, également connu sous le nom de méthylsulfonylméthane (MSM), est un composé soufré naturellement présent dans certains aliments et dans le corps humain. Il est souvent utilisé comme complément alimentaire en raison de ses nombreux bienfaits pour la santé que nous allons vous présenter.
C’est en effet l’un des premiers bienfaits du soufre organique. Il est souvent utilisé pour soulager les douleurs articulaires et l'inflammation, notamment dans les cas d'arthrose et d'arthrite. Censé contribuer à la formation de collagène et de tissu conjonctif, il est essentiel pour maintenir la santé des articulations.
Il possède des propriétés anti-inflammatoires qui peuvent aider à réduire l'inflammation dans tout le corps, ce qui est bénéfique pour les personnes qui souffrent de diverses affections inflammatoires.
C’est un composant important de la kératine, une protéine présente dans la peau, les cheveux et les ongles. En conséquence, il est souvent utilisé pour favoriser la croissance des cheveux, renforcer les ongles et améliorer l'apparence générale de la peau.
Certaines recherches suggèrent que le soufre organique peut aider à soulager les symptômes du syndrome du côlon irritable (SCI) et d'autres troubles gastro-intestinaux en réduisant l'inflammation et en favorisant la guérison de la muqueuse intestinale.
Il existe des preuves qui démontrent qu’il peut aider à réduire les symptômes des allergies saisonnières et d'autres réactions allergiques en raison de ses propriétés anti-inflammatoires.
Il peut aider à réduire le risque de maladies cardiovasculaires en améliorant la circulation sanguine et en réduisant l'inflammation des vaisseaux sanguins.
Remarque : avant de prendre des suppléments de soufre organique ou tout autre complément alimentaire pour bénéficier de leurs bienfaits, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour déterminer si cela convient à votre situation individuelle. Notez que Apoticaria ne remplace pas l’avis médical, notamment si vous suivez un traitement de longue durée ou que vous avez un état de santé fragile.
Pour utiliser le soufre organique et en ressentir tous les bienfaits, nous vous conseillons de suivre les recommandations suivantes :
Il peut être pris directement à la cuillère ou dilué dans un verre d’eau. Pour neutraliser son amertume, vous pouvez l’ajouter dans un jus de pamplemousse. Dans tous les cas, après chaque prise, il est recommandé de boire un grand verre d’eau car l'eau contient de l'oxygène qui pourra être utilisé par le soufre !
Il est particulièrement conseillé d’avoir une hydratation régulière pendant cette période et de boire entre 1,5 à 2 litres d’eau pour une personne adulte ; cela exclut les tisanes, le thé ou les soupes.
Au début de la prise de soufre, démarrez progressivement en prenant un dosage réduit pendant trois jours ou en prenant le dosage normal avec de la nourriture. Pour un effet plus soutenu, vous pouvez prendre 4 cuillères à café rases par jour pendant un mois, puis réduire à deux cuillères par jour.
Par ailleurs, les méthodes de prise sont celles-ci :
La formulation que nous proposons de ce produit ne contient pas de sucre, d’amidon, d’arômes ni de colorants artificiels, de produits carnés, de produits laitiers, de farine, de gluten et de levure. Il est disponible en sachets plastique de 450g !
]]>Pour répondre à la question : “Pourquoi je ne digère plus rien ?", il faut explorer les différentes causes sous-jacentes car les comprendre est la première étape vers une prise en charge efficace et le retour à une digestion saine et confortable.
Une mauvaise digestion peut être causée par de nombreux et divers facteurs.
C’est pourquoi identifier la cause sous-jacente permet de trouver des solutions adaptées. En effet, si certains peuvent avoir des problèmes gastro-intestinaux, d’autres peuvent se confronter à des sources de stress et anxieuses ; les deux groupes peuvent développer des troubles digestifs inconfortables !
Voici quelques raisons courantes.
La maladie de Crohn, la colite ulcéreuse, la gastrite ou le syndrome du côlon irritable peuvent entraîner des troubles digestifs.
L'intolérance au lactose, au gluten, aux œufs ou à d'autres composants alimentaires peut provoquer des symptômes digestifs inconfortables.
Des infections bactériennes, virales ou parasitaires peuvent entraîner des troubles digestifs aigus ; il faut également être attentif à d’autres symptômes potentiels pour être sûr qu’il n’est pas nécessaire de prendre contact avec un professionnel de la santé !
Les troubles de la motilité intestinale tels que la constipation ou le syndrome du côlon irritable peuvent ralentir ou perturber le passage des aliments dans le système digestif.
Des problèmes au niveau du foie ou de la vésicule biliaire peuvent affecter la production de bile nécessaire à la digestion des graisses.
Le stress et l'anxiété peuvent influencer la digestion en modifiant les habitudes alimentaires et en affectant la production d'enzymes digestives.
Manger trop rapidement, ne pas mâcher correctement les aliments ou consommer une alimentation déséquilibrée peut entraver votre confort après repas.
Eh oui, le processus pouvant ralentir avec l’âge, il est tout à fait possible de développer des problèmes de digestion chez les personnes plus âgées.
Certains médicaments, tels que les antidépresseurs, les antibiotiques ou les anti-inflammatoires, peuvent affecter le processus.
A savoir : ces facteurs ne sont pas exhaustifs et chaque individu peut présenter des réactions différentes. Si vous éprouvez des symptômes persistants, vous pouvez vous procurer des produits fabriqués à partir d’ingrédients d’origine naturelle sur notre boutique en ligne ! Soigneusement sélectionnés, ils contribuent à la santé de votre estomac, favorisent un meilleur processus de digestion et offrent une source de fibres bénéfiques pour prévenir les troubles intestinaux après les repas.
La digestion efficace dépend de plusieurs facteurs et adopter certaines habitudes peut contribuer à favoriser à la rendre plus saine, facile et agréable.
La question "Pourquoi je ne digère plus" vous obsède ?
Voici quelques conseils pour mieux digérer lors de vos prochains repas :
Chaque personne réagit différemment aux aliments et aux habitudes de vie. Si vous rencontrez des symptômes de mauvaise digestion malgré l'adoption de ces conseils, consultez un professionnel de la santé pour vous assurer qu’ils ne soient pas associés à un problème de santé important.
]]>La désinfection de la vessie n’est pas une procédure courante ni interrogée par beaucoup alors que, pourtant, elle est nécessaire pour assurer le bon fonctionnement de cet organe. Essentiel au système urinaire, il stocke l'urine avant son élimination du corps. Toutefois, une infection peut survenir lorsque des bactéries pénètrent dans l'urètre et se multiplient !
Également appelées cystites, elles sont généralement traitées avec des antibiotiques prescrits par un professionnel de la santé. Or, en prévention, il existe de nombreuses solutions naturelles qui peuvent vous éviter la consommation de médicaments !
Si vous ressentez des symptômes tels que brûlures pendant la miction, un besoin fréquent d'uriner, une douleur pelvienne ou un changement dans l'aspect de l'urine, il est essentiel de consulter un médecin pour un diagnostic précis. Sinon, si vous souhaitez savoir comment désinfecter votre vessie pour éviter cela, voici quelques astuces :
Nous avons évidemment conscience que le stress et l’anxiété ne se prévoient pas mais ils peuvent être retardés ou évités lorsque l’on en a conscience.
Il est crucial de consulter un professionnel de la santé pour toute préoccupation liée à la vessie, car l'autodiagnostic et l'autotraitement peuvent être risqués et ne sont pas recommandés. Néanmoins, sachez que les produits à base d’ingrédients naturels ne vous mettent pas en danger puisque vous apportez à votre organisme les bienfaits des plantes, des écorces, des racines, etc.
Attention : si vous constatez que vos symptômes s’aggravent, il est important de prendre rendez-vous avec un médecin ou de contacter les urgences car les infections urinaires peuvent avoir de lourdes conséquences sur votre santé !
Si vous recherchez des produits naturels pour désinfecter votre vessie, en plus des astuces que nous vous avons données précédemment, notre boutique en ligne Apoticaria peut être une solution pour vous. Spécialisée dans le conseil et la vente de produits sains, c’est toute une équipe d’experts qui se charge de vous proposer les compléments alimentaires, les cosmétiques ou autres produits capables d'améliorer votre confort urinaire et de vous apporter une dose de bien-être supplémentaire !
Depuis 2007, nous proposons une approche éthique à l’ensemble de notre clientèle, assurant par la même occasion un service client de qualité. Nous profitons alors d’une excellente réputation, mettant à disposition de tous une gamme originale de produits, dont tous les éléments sont toujours sélectionnés et testés.
Nous avons reçu l’approbation de nombreux utilisateurs, thérapeutes et pharmacies.
Respectueux du corps et des moyens dont il dispose pour se régénérer naturellement, nous travaillons avec intégrité et transparence dans le but de proposer la solution la plus rapide et la plus efficace pour toute sorte de problématique.
Nos laboratoires partenaires sont des spécialistes mondiaux des substances qu’ils proposent, que ce soit pour les sucres rares, la gamme liposomale, l’origan sauvage riche en carvacrol, les minéraux.
En cas de besoin, laissez-vous conseiller et guider par les conseillers dédiés de notre boutique Apoticaria, disponibles du lundi au vendredi, de 9h à 18h !
]]>Cette substance est souvent associée à divers avantages pour le corps, notamment pour ses effets présumés sur les articulations, la santé de la peau, des cheveux et des ongles, ainsi que pour son potentiel à atténuer les symptômes d'allergies.
Toutefois, malgré sa popularité croissante, une évaluation approfondie de ses bienfaits et de ses effets sur la santé humaine reste nécessaire pour confirmer et comprendre pleinement ses mécanismes d'action. C’est pourquoi nous vous recommandons de toujours demander l’avis d’un professionnel de la santé pour être sûr de son utilisation dans votre cas.
Le MSM, ou méthylsulfonylméthane, est un composé soufré naturel que l'on trouve dans certains aliments et dans le corps humain. Il est souvent utilisé comme complément alimentaire pour ses potentiels bienfaits pour la santé. Voici la liste de certains d’entre eux.
Le MSM est souvent pris pour aider à soulager les douleurs articulaires et l'inflammation associées à des conditions telles que l'arthrite, en raison de ses propriétés anti-inflammatoires potentielles. Certains utilisateurs rapportent une réduction des douleurs articulaires et une amélioration de la mobilité.
Il peut contribuer à la formation de collagène, favorisant ainsi la santé de la peau, des cheveux et des ongles. Certains utilisateurs constatent une amélioration de l'apparence de leur peau, une croissance des cheveux plus saine et une réduction des ongles cassants.
Il pourrait aider à atténuer les symptômes des allergies en réduisant l'inflammation et en soutenant le système immunitaire.
Certaines personnes en prennent pour aider à soulager les problèmes gastro-intestinaux, bien que les preuves scientifiques soutenant cette utilisation soient limitées.
Le méthylsulfonylméthane est considéré comme sûr lorsqu'il est pris à des doses appropriées et il peut avoir des interactions avec d'autres médicaments. Comme pour tout supplément, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé avant de commencer à en prendre, surtout si vous avez des problèmes de santé préexistants ou si vous suivez un traitement médical !
Pour consommer votre méthylsulfonylméthane à bon escient et profiter pleinement de tous les bienfaits de ce remède naturel, voici nos conseils.
1 cuillère à café (4 g environ) 2 fois par jour.
Vous pouvez choisir de la consommer soit pure dans la bouche en avalant un verre d'eau directement après ou bien directement diluée dans une tasse d'eau chaude, de tisane ou de chicorée ; c’est selon vos préférences. Aussi, pour une meilleure efficacité, il est suggéré de le prendre à deux moments différents de la journée, comme le matin et le soir.
Il est recommandé de l’absorber en dehors des repas, sauf en cas de sensibilité stomacale.
Nous recommandons de commencer la cure par un dosage plus restreint à hauteur de 2 grammes par jour et d'augmenter progressivement d'une demi-cuillerée à café tous les deux jours ; vous êtes ainsi sûr de le supporter, selon vos capacités.
3 à 4 cuillères à café par jour.
Ce dosage s'applique dans les cas de fatigue ancienne et chronique ainsi que pour renforcer les systèmes immunitaire et endocrinien en cas de grippe ou de traitement dit "lourd". Il s'applique aussi pour une allergie saisonnière avec symptômes d'éternuement, nez qui coule, yeux qui piquent, etc.
A noter : le MSM (méthylsulfonylméthane) n'est pas toxique même à des dosages élevés tels que 40 ou 60 grammes par jour.
Les bienfaits de ce soufre organique sont bénéfiques au bout de trois mois de cure en dosage préventif mais il n’est pas impossible de les ressentir dès la première semaine. Au fur et à mesure, il va permettre le passage de l'oxygène à travers la membrane de plus en plus de cellules de l'organisme.
]]>Ses bienfaits incluent la détoxification, le soutien digestif, le renforcement du système immunitaire et des propriétés anti-inflammatoires. Cependant, bien que son utilisation semble prometteuse, davantage de recherches scientifiques sont encore menées pour la comprendre davantage.
La zéolithe est un minéral naturel possédant des propriétés intéressantes et divers bienfaits potentiels pour la santé. Plusieurs bienfaits sont en effet notables.
Elle est souvent utilisée pour aider à la détoxification du corps. Sa structure poreuse lui permet de piéger et d'éliminer certaines substances toxiques ou des métaux lourds du système digestif. Ce mécanisme de détoxification des métaux lourds est notable en particulier sur le plomb, le mercure, l’arsenic et le cadmium, permettant d’améliorer, entre autres, l’état psychique et les performances cognitives chez les enfants hyperactifs !
Les résultats des études menées à ce sujet sont variables selon le mode d’administration notamment le spray, les gouttes ou la prise orale de poudre, mais aucune d’elles n’a détecté d’interférence préjudiciable entre ce composé minéral et les métaux présent dans le corps : implants dentaires, broches, vis, plaques ou clous.
En raison de ses propriétés absorbantes, la zéolithe est parfois utilisée pour favoriser un système digestif sain en absorbant les toxines et en régulant l'équilibre du pH dans l'intestin.
La plupart des cas de diabète étudiés ont démontré une stabilisation et une diminution nettes de la quantité de sucre dans le sang !
Certains témoignages affirment qu’elle pourrait renforcer le système immunitaire en éliminant les toxines qui pourraient affaiblir le corps. En effet, il a été constaté chez la majorité des personnes qui consomment de la zéolithe activée en complément d’un traitement médical une amélioration rapide de leur vitalité, leur état général et leur appétit.
On pense que la zéolithe pourrait avoir des propriétés anti-inflammatoires, ce qui pourrait aider à réduire l'inflammation dans le corps.
Certains produits topiques contenant de la zéolithe sont utilisés pour aider à la cicatrisation des plaies, à soulager les irritations cutanées et à soutenir la santé générale de la peau.
La consommation de zéolithe peut varier en fonction de la forme sous laquelle elle est disponible (poudre, capsules, liquide) et de ses utilisations spécifiques. Si vous utilisez de la zéolithe sous forme de poudre, comme cela vous est proposé sur notre boutique en ligne, vous pouvez la mélanger avec de l'eau, du jus ou l'ajouter à des smoothies ou des aliments.
Celle que nous vous proposons sur notre boutique en ligne se présente sous la forme d’une poudre très fine (environ 5 microns) qu’il a été possible d’obtenir par une méthode brevetée de micronisation, l’activation tribomécanique, qui est effectuée par l’entraînement d’un flux d’air très puissant. Les microparticules obtenues ont fait l’objet d’un programme de recherche biologique et médicale, mené par des équipes de la Communauté Européenne.
Mélangez-la bien avec le liquide ou les aliments pour une meilleure assimilation.
Retrouvez deux conditionnements différents : en pot de 200g ou en pot de 500g. Nous vous recommandons de demander l’avis d’un professionnel de la santé pour connaître les doses adaptées à votre profil !
Pour profiter de tous les bienfaits de la zéolithe, rendez-vous sur Apoticaria.
]]>Les infections urinaires sont des infections bactériennes fréquentes qui affectent les voies urinaires et peuvent être très douloureuses. Conventionnellement prises en charge via des traitements médicamenteux et pharmaceutiques (sous ordonnance), il existe en fait des solutions naturelles et préventives qui peuvent tout autant agir pour aider à soulager les symptômes et à traiter les infections urinaires. Sur notre boutique en ligne, retrouvez un grand nombre d’entre eux de manière à pouvoir traiter rapidement et efficacement l’apparition de votre infection dès l’apparition des premiers symptômes !
Les infections urinaires sont le plus soWD-uvent causées par des bactéries qui pénètrent dans l'urètre et se propagent dans les voies urinaires. Les symptômes les plus courants sont :
Elles peuvent être traitées avec des solutions préventives pour soulager les symptômes. Or, il est important de consulter un médecin si vous présentez l'un des symptômes cités précédemment et ne voyez pas d'amélioration via les solutions naturelles de prévention.
Ces infections bactériennes peuvent être traitées avec des antibiotiques, mais il est important de prendre le médicament précis, spécialement prescrit pour ce type d’affection et de le prendre pendant la durée prescrite par votre médecin. Si vous ne prenez pas le médicament correctement, vous risquez de ne pas guérir complètement et de développer une infection résistante aux antibiotiques.
Ce qui est donc gênant lorsque l’on ne peut pas avoir un rendez-vous chez son médecin traitant dans l’heure ! Heureusement, des solutions naturelles existent, accessibles à toutes sans ordonnance ; il suffit de les commander pour les avoir avec soi dès que nécessaire.
Pour éviter les infections urinaires dès l’apparition des premiers symptômes de celles-ci, il est recommandé de prendre des solutions préventives à la composition naturelle, de manière à pouvoir éviter tous les inconvénients qu'engendre ce type d'infection par la suite ; ce, sans avoir à vous battre pour obtenir une ordonnance auprès d’un médecin !
Waterfall D-Mannose - Sweet Cures
Présenté ici sous forme de poudre, le D-Mannose est un sucre rare extrait de bois forestier. Cette solution 100% naturelle, sans additifs ni conservateurs, est 100% bioactif. C’est une solution naturelle efficace pour toutes et tous !
Prenez une cuillère à café dans un verre d’eau 3 fois par jour ou plus si nécessaire.
Vous pouvez également le retrouver sur notre boutique sous forme de comprimés.
Cueilli à la main, l’origan est une arômate aux multiples effets qui est à utiliser tant en cuisine que pour combattre les infections urinaires. Elle fait partie de la famille des Lamiacées avec le thym, le romarin, la lavande ou encore la menthe ! Cette huile est à consommer sous forme de gélules.
Dans la région des Landes de Gascogne, des moines cultivent la plante Lepidium pour en faire une solution préventive naturelle à utiliser contre les infections urinaires. Elle est cultivée de façon artisanale depuis près de 50 ans !
Composé de nigelle, cette solution assure des effets très efficaces. Aussi appelé “cumin noir oriental), il est aujourd’hui utilisé dans le monde entier pour ses propriétés exceptionnelles, notamment pour son composant actif qu’est la thymoquinone.
Consommez 3 gélules/jour avec un grand verre d’eau.
Ce thé est un mélange de tisanes apaisantes. Il est composé des meilleures herbes de qualité pharmacopée : feuilles de bouleau, mélisse, églantines, feuilles d’ortie, feuilles de mûre, verge d’or, tilleul et menthée poivrée.
Dès l’apparition de vos premiers symptômes, préparez-en avec 2 cuillières à soupe dans 1L d’eau bouillante puis laissez reposer 5 à 10 minutes. Buvez l’ensemble pendant la journée !
Pour vous permettre d’éviter les infections urinaires, notre boutique vous propose de découvrir une large gamme de solutions adaptées à tous grâce à ses composants naturels sans effets secondaires. Toutefois, il s'agit de solutions préventives ne remplaçant aucunement un avis médical. Si vous constatez que votre infection s’accentue, consultez un médecin.
]]>La digestion est un processus essentiel à notre bien-être quotidien qui demeure l'un des phénomènes les plus fascinants du corps humain. De la première bouchée savourée à la satisfaction après un repas copieux, notre organisme procède à une série d’étapes complexes pour décomposer les aliments et en extraire les nutriments nécessaires.
Tout ça est intéressant mais en combien de temps se fait la digestion ?
La question de la durée de la digestion est importante pour comprendre le fonctionnement interne de notre système digestif. Plusieurs étapes clés de ce voyage à travers l'estomac, l'intestin grêle et le reste du système digestif, permettent de connaître le temps nécessaire à notre corps pour transformer les aliments en énergie vitale, tout en considérant les facteurs qui peuvent influencer cette chronologie digestive.
La durée de la digestion varie en fonction de plusieurs facteurs :
En règle générale, la digestion peut prendre entre 24 à 72 heures pour être complètement achevée, depuis le moment où les aliments sont ingérés jusqu'à ce que les déchets soient éliminés du corps ; vous vous rendez compte ?
Votre repas du mardi attend donc le lendemain ou le jeudi pour être éliminé !
Mais, attention : toutes les différentes étapes de digestion se déroulent à des rythmes variés. La mastication et le passage des aliments dans l’estomac, par exemple, peuvent prendre quelques heures tandis que la décomposition des aliments et l’absorption des nutriments peuvent prendre plusieurs heures supplémentaires.
Les aliments riches en fibres peuvent prendre plus de temps à être digérés tandis que les aliments gras ou protéinés nécessitent une période de digestion plus longue.
Voici un petit rappel du trajet :
1. Oesophage (quelques secondes)
2. Estomac (4h environ)
3. Intestin grêle (4h environ)
4. Gros intestin (16h).
Pour savoir en combien de temps se fait la digestion d’une personne, il faut prendre en compte de nombreux facteurs dont certains troubles digestifs qui peuvent rapidement interférer. Voici quelques exemples.
Elle se traduit par des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements, de la diarrhée ou des ballonnements et l’ensemble peut être accompagné d’une migraine. Lorsqu’un état de malaise se fait ressentir, on parle alors d’indigestion. Dans la plupart des cas, cela est consécutif à un excès de nourriture et/ou d'alcool !
C’est une sensation d’inconfort digestif après un repas qui se traduit par des douleurs abdominales difficiles à localiser. A cela peut s’ajouter une sensation de lourdeur et de gonflement, une lenteur de digestion, un hoquet ou des nausées voire des vomissements.
Elles correspondent à une irritation de la muqueuse gastro-duodénale due à un excès d’acide dans l’estomac ou à la présence d’aliments agressifs pour la muqueuse. La douleur se traduit par intermittence avec des sensations de crampes 2h à 3h après le repas.
Les remontées acides sont des remontées d’une partie du contenu gastrique dans l'œsophage se traduisant par régurgitations, des remontées de liquide dans la bouche.
Pour vous assurer d’avoir une bonne digestion, voici quelques conseils :
Si vous avez un doute concernant votre digestion ou si vous avez l’impression que plusieurs troubles surviennent fréquemment, contactez un médecin généraliste !
]]>Dans tous les cas, l’astaxanthine, qui est un puissant antioxydant et anti-inflammatoire naturel, est non seulement un filtre utile contre les rayons agressifs, mais aussi une protection efficace des capillaires autour de la macula, la zone centrale de la rétine, derrière l’œil.
L’astaxanthine est un des plus puissants antioxydants offerts par la nature, et donc un complément alimentaire très efficace. C’est un composé phytochimique (un pigment) qui appartient au sous-groupe des xanthophylles, dans la famille des caroténoïdes liposolubles, et qui se trouve en quantité concentrée dans les milieux marins et aquatiques, en particulier dans la microalgue Haematococcus pluvialis dont elle est extraite, ainsi que dans les poissons et les crustacés auxquels elle donne leur couleur rouge orangée ou rose : par exemple les homards, les crevettes, les crabes, les écrevisses, les saumons, les truites saumonées, le krill… mais aussi dans les plumes des flamants roses qui s’en nourrissent.
L’astaxanthine est un complexe naturel qui, dans la biomasse des algues, s’associe entre autres au ß-carotène, à la lutéine et à la canthaxanthine, en créant un effet synergique qui lui donne une excellente biodisponibilité. Elle est également plus bioactive que ces caroténoïdes auxquels est associée.
De plus, une de ses particularités est qu’elle ne devient pas pro-oxydante, contrairement à de nombreux autres antioxydants qui peuvent le devenir dans certaines circonstances (par exemple la vitamine E, le β-carotène ou la zéaxanthine).
D’autre part, comme elle est soluble dans la graisse, cette molécule a une affinité particulière avec les membranes cellulaires et mitochondriales, et se distingue par son extraordinaire capacité à s’y fixer d’une façon idéale pour préserver les structures cellulaires quand elles sont victimes du stress oxydatif. Ses propriétés antioxydantes sont 14,3 fois plus puissantes que celles de la vitamine E ; 53,7 fois plus que celles du bêtacarotène ; 64,9 fois plus que celles de la vitamine C (et 20,9 fois plus que celles de l’astaxanthine synthétique).
Enfin, grâce à ce pouvoir de fixation dans les membranes, l’astaxanthine naturelle a un effet durable qui améliore encore son efficacité.
L’astaxanthine antioxydante (qui neutralise les radicaux libres) a une action protectrice, préventive et curative reconnue. Durant une étude de deux semaines, cinq sujets ont reçu 3,6 mg/jour d’astaxanthine, cinq autres ont reçu 7,2 mg/jour, et trois, 14,4 mg/jour. Aucun effet secondaire négatif n’a été observé. En revanche, un effet antioxydant a été constaté sur les LDL sériques : l’oxydation s’est ralentie au fur et à mesure que les doses d’astaxanthine augmentaient.
L’astaxanthine est très efficace en particulier : pour améliorer la qualité de la peau ; pour booster les performances sportives ; pour prévenir les maladies neurodégénératives associées au stress oxydatif (entre autres Alzheimer, MPI, SLA) ; pour prévenir le déclin cognitif lié à l’âge ou la maladie (mémoire, performances mentales).
Mais récemment, on a découvert que ses propriétés s’étendaient également au domaine de la santé oculaire et de l’acuité visuelle. De plus en plus d’études et de recherches montrent que l’astaxanthine peut agir positivement sur la qualité de la vision, la fatigue oculaire, la sécheresse et l’irritation des yeux. Cette action est due au fait que certains caroténoïdes, et c’est le cas de l’astaxanthine, sont des précurseurs du rétinol (vitamine A), un composé chimique qui agit au niveau de la rétine et améliore le fonctionnement des récepteurs oculaires, donc l’acuité visuelle, celle du jour comme celle de la nuit.
D’autre part, par rapport aux autres caroténoïdes, l’astaxanthine est deux fois mieux absorbée par les cellules rétiniennes.
On savait déjà que certains caroténoïdes participent à la protection de la rétine contre les dommages oxydatifs, mais l’action de l’astaxanthine dans ce domaine est particulièrement efficace. Toutes ses propriétés lui permettent de traverser facilement la barrière hémato-rétinienne, donc d’atteindre les cellules de la rétine. Une étude récente sur des rats a d’ailleurs démontré, en particulier, que l’astaxanthine atténuait efficacement des lésions rétiniennes, tout en protégeant les photorécepteurs de l’œil de la dégénérescence.
Une action sur la DMLA : en vieillissant, on peut souvent développer une dégénérescence maculaire liée à l’âge qui se manifeste par une dégradation progressive de la vision centrale. En cas de DMLA, l’astaxanthine a démontré qu’elle améliorait l’acuité de la vision et la qualité du contraste. Les études ont aussi permis d’observer une amélioration de la microcirculation sanguine autour de la macula, la zone centrale de la rétine, située derrière l’œil.
Une action sur la kératinite, la cataracte et le glaucome : pour l’instant, on a expérimenté l’astaxanthine sur ces pathologies uniquement chez les animaux, mais avec des résultats très encourageants. On a pu observer le renforcement de la circulation sanguine capillaire, avec une diminution de l’inflammation, du stress oxydatif (l’altération des constituants des cellules) et de l’apoptose (la mort cellulaire programmée).
Une action sur l’acuité visuelle : celle-ci diminue en particulier chez les personnes qui souffrent d’une fatigue oculaire, par exemple parce qu’elles travaillent devant un écran de façon prolongée, ou parce qu’elles subissent de mauvaises conditions environnementales. L’astaxanthine aide à stabiliser, et même à améliorer de façon significative l’acuité visuelle et la perception des contrastes.
Une action sur la sécheresse et la conjonctivite : les deux sont souvent le signe d’une inflammation qui entraîne un réel inconfort oculaire et oblige parfois à utiliser des larmes artificielles. Les propriétés anti-inflammatoires de l’astaxanthine sont très utiles dans ce cas : elles permettent d’augmenter la production de larmes et de réduire les résidus lacrymaux oxydatifs.
Une action sur les effets des rayons UV : une exposition habituelle ou accidentelle aux ultraviolets abîme les cellules oculaires et peut entraîner une cataracte ou un autre des troubles de la vue évoqués ci-dessus. Les propriétés antioxydantes de l’astaxanthine peuvent prévenir l’apparition de lésions sur la rétine et protéger les yeux de l’effet agressif des UV.
Une action sur les agressions extérieures : au quotidien, d’autres phénomènes agressent les yeux, tels que la pollution de l’air ou certains traitements comme la chimiothérapie. Là aussi, l’astaxanthine naturelle peut jouer un rôle positif d’amélioration et de protection.
Certes, l’astaxanthine ne corrige pas les troubles visuels tels que la myopie, l’hypermétropie, l’astigmatisme, le strabisme, la presbytie ou l’amblyopie, mais elle les accompagne positivement en renforçant la circulation sanguine autour des yeux et en protégeant leur rétine.
L’astaxanthine naturelle proposée comme complément alimentaire ne provoque pas d’effets secondaires désagréables ou nuisibles. Son usage est réservé aux adultes et aux adolescents. Elle passe par un processus d’extraction au CO2 supercritique, qui permet de travailler à faible température afin de conserver le meilleur de ses principes actifs qui sont alors très proches de leur version végétale d’origine. La posologie conseillée est de 8 mg par jour, soit 1 gélule, chaque matin.
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Tout ce qui entre dans le corps par la bouche, passe d’abord par la barrière intestinale, puis est filtré par le foie, avant de passer dans le sang pour nourrir votre organisme. Quand votre foie est en forme et peut bien faire son travail, il envoie aux reins les déchets d’acides lourds produits par la digestion des protéines animales, et aux poumons le dioxyde de carbone et les acides légers issus de la digestion des plantes, tandis que l’eau et la chaleur sont évacuées par la peau.
Mais si votre foie est surchargé, il laisse stagner les déchets et les conséquences négatives sur l’organisme se font rapidement sentir et pénalisent votre forme, donc votre vie quotidienne.
Votre foie filtre constamment le sang qui circule dans tout votre organisme (1,5 litre par minute au repos), ainsi que les nutriments que vous ingérez et les déchets de l’intestin. C’est son travail, qui implique qu’il intervienne en continu dans plus de 300 fonctions vitales pour le corps, par exemple la synthèse de certaines vitamines, d’hormones et de protéines, la fabrication de la bile, le stockage et la libération des glucides, etc. De plus, il a une fonction antitoxique qui est primordiale.
Quand le foie n’est pas en forme, son fonctionnement ralentit, ou s’arrête momentanément (les stases). Cela peut être dû à :
Voici comment les choses se passent dans l’organisme. Le sang veineux parvient au foie depuis le tube digestif, le pancréas et la rate par une veine de gros calibre, la veine porte. Ce sang est alors chargé des nombreuses substances issues de la digestion ou de l’activité des organes du système digestif. Une fois qu’il arrive dans le foie, les molécules qu’il transporte sont absorbées par les cellules hépatiques dotées d’enzymes spécifiques qui effectuent la transformation chimique des substances qu’il a amenées. Là ont lieu des modifications vitales pour l’organisme. Voici les principales.
Le foie effectue l’épuration et l’élimination les déchets qui compromettent le bon fonctionnement de l’organisme. Il tue les bactéries et les virus, puis il neutralise leurs toxines. Il désactive puis il évacue toutes les substances toxiques ingérées en mangeant, en buvant, en respirant : les additifs, les vitamines de synthèse, les minéraux dangereux, les composants toxiques des médicaments, des drogues et de l’alcool. Il isole les déchets du sang et les résidus du métabolisme cellulaire – les cellules mortes, certains minéraux, le cholestérol, etc. Il trie et élimine aussi les déchets de la fermentation intestinale et de la putréfaction.
Le foie réalise la transformation des glucides (glucose, fructose, galactose) en glycogènes, puis leur stockage au sein des hépatocytes (les cellules du tissu hépatique). Ensuite, suivant les besoins de l’organisme, il retransforme le glycogène en glucose, puis le redirige dans la circulation sanguine. Les lipides qui passent par le foie sont, quant à eux, transformés en triglycérides qui sont stockés dans les cellules hépatiques, puis divisés en acides gras et utilisés en fonction des besoins en énergie du corps.
Dans le foie s’effectue aussi la synthèse des protéines du sang. Les protéines et les acides aminés issus de la digestion sont synthétisés par le foie pour donner une grande partie des protéines du sang : l’albumine, les protéines entrant dans la composition de l’hémoglobine et « le facteur 5 » (la pro-accélérine qui intervient dans la coagulation du sang).
Les cellules du foie fabriquent également de la bile en continu, qui a pour rôle, entre autres, d’intervenir dans la digestion des graisses au niveau de l’intestin grêle, mais aussi de transporter jusqu’aux intestins les produits liposolubles qu’il faut éliminer après leur passage dans le foie.
Enfin, un autre rôle capital du foie est la détoxification de l’organisme, l’élimination de ses substances toxiques avant qu’elles ne pénètrent dans les cellules et y fassent des dégâts. Le foie les dégrade et en fait des produits non toxiques. Quand ce sont des substances liposolubles, elles sont reversées dans la bile qui les conduit dans l’intestin où elles sont éliminées dans les selles. Quand ce sont des substances hydrosolubles, elles sont renvoyées dans la circulation sanguine qui les conduit aux reins où elles sont éliminées par l’urine. Il traite aussi l’alcool qui, en trop grande quantité, a un effet toxique sur les cellules hépatiques dont le fonctionnement est alors perturbé, ce qui peut provoquer une cirrhose puis entraîner une hémorragie digestive, un dérèglement du fonctionnement du foie dont souffre tout l’organisme, et même un cancer du foie.
Sans cette détoxification continue et efficace parce que le foie est sursollicité, agressé et intoxiqué – en particulier lors des saisons intermédiaires que sont le printemps et l’automne –, tout l’organisme risque de se dérégler.
Vous les ressentez plus ou moins vite et plus ou moins fort, suivant votre rythme biologique, votre âge et vos problèmes de santé adjacents. Mais ils sont plus sensibles en automne – après une saison estivale active – et au printemps – après la fatigue de l’hiver. Ce sont :
Une alimentation équilibrée et un rythme de vie sain et actif sont les premiers alliés d’un foie en bonne santé.
Dans le cas d’une manifestation débutante des symptômes d’un dérèglement ou une apathie du foie, vous pouvez utiliser les vertus détoxifiantes de certaines plantes réputées pour leur action positive dans ce contexte, comme l’artichaut, le radis noir, le desmodium, le chardon-marie, le romarin, le pissenlit… utilisés à titre préventif, deux fois par an, au printemps et à l’automne,
Si les symptômes expriment une perturbation du foie durable et dommageable, avec des signes de dysfonctionnement de l’organisme (voir plus haut), la prise d’un complément alimentaire ciblé sur sa détoxification complète et sa stimulation devient indispensable.
Dans ce cadre, le Desmophyt offre une formule spécifique pour le foie, parfaite pour une détoxification de printemps ou d’automne. Il est composé d’extrait de feuilles de Desmodium, d’extrait de graines de chardon-marie, d’extrait de feuilles de romarin, de lécithine de soja et d’acide alpha R lipoïque, dans des quantités et des proportions qui favorisent leur synergie. L’interaction de ces substances naturelles, connues pour leurs qualités hépatoprotectrices, mais aussi digestives, antioxydantes et anti-inflammatoires, est ciblée sur un nettoyage parfait du foie et la remise en route de ses fonctions de filtration et d’élimination des déchets. Une aide précieuse dans un milieu de plus en plus pollué et déséquilibrant.
Or, cette insuffisance de sécrétion du cortisol suggère que les glandes surrénales ne fonctionnent pas bien, ce qui perturbe leurs interactions avec l’hypophyse et l’hypothalamus. Et elle explique aussi la fatigue des surrénales.
Avant le Covid, les maladies des surrénales étaient plutôt rares, mais cette « fatigue » engendrée par le Covid a provoqué des effets à long terme qui fragilisent les glandes et entraînent des conséquences sur l’organisme entier.
Il s’agit de deux glandes endocrines qui sont situées, comme leur nom l’indique, au-dessus des reins, et qui secrètent de nombreuses hormones dans la circulation sanguine. Chacune est composée deux parties qui proviennent de deux origines embryologiques différentes et peuvent donc être considérées comme deux glandes distinctes :
La fatigue des surrénales, en général due au stress, agit donc sur tous les aspects de notre corps – physique, mental et émotionnel – en les déséquilibrant, ce qui perturbe globalement notre santé et provoque de la fatigue, des troubles digestifs, des douleurs articulaires, une perte ou une prise de poids, une perte de la concentration, une baisse de la libido…
Cet état d’épuisement physique, mental et émotionnel est accentué par le fait que notre alimentation manque de plus en plus de micronutriments et que nous sommes de plus en plus exposés à de nombreuses toxines environnementales, physiques et électromagnétiques.
Il faut aussi tenir compte du fait que notre corps est composé à 60 % d’eau riche (en principe) en minéraux.
À chaque seconde de notre existence, notre corps dépend des minéraux pour engendrer les millions d’impulsions minuscules sans lesquelles pas un seul muscle, y compris le cœur, ne pourrait fonctionner, ni le cerveau, ni non plus les cellules qui seraient incapables d’utiliser le mécanisme de l’osmose pour équilibrer la pression de l’eau et absorber les nutriments.
Ces minéraux présents dans l’organisme, et indispensables à son bon fonctionnement, sont chargés ioniquement. Un minéral ionisé est un élément qui dispose d’une charge positive ou négative. Au niveau moléculaire, cela veut dire qu’il contient trop ou trop peu d’électrons, ce qui lui permet d’établir une liaison rapide avec l’eau, puis d’être efficacement absorbé par le corps. Cette instabilité de l’élément minéral à la recherche d’un état d’équilibre provoque donc une dynamique qui entraîne une meilleure mobilité des nutriments pour rejoindre les parties du corps qui en ont besoin pour fonctionner.
Ces minéraux sont ceux que l’on retrouve dans la table périodique des éléments : le chrome, le magnésium, le fer, le zinc, etc., c’est-à-dire ceux qui forment l’Univers, la Terre et tout ce qui s’y trouve, y compris les êtres humains dont le corps est un assemblage complexe mais équilibré de ces éléments. Les processus électrochimiques qui ont lieu à chaque instant au niveau corporel ont besoin qu’un équilibre correct règne entre certains minéraux : le fer pour le sang, le soufre pour les muscles, le calcium pour les os, etc., pour assumer les innombrables fonctions physiologiques. Il est donc primordial d’apporter en continu à l’organisme ces éléments qu’il dépense quotidiennement pour fonctionner.
Mais l’organisme ne bénéficie de ces minéraux qu’à la condition de bien les absorber, ce qui a lieu principalement dans l’intestin grêle. C’est quand le bol alimentaire passe par l’intestin grêle et traverse ses parois que les minéraux rejoignent la circulation sanguine. Or, seuls les minéraux chargés ioniquement peuvent passer dans le sang. L’acidité stomacale aide à les ioniser, mais un complément à base de minéraux naturellement ionisés devient utile quand l’apport des aliments n’est plus suffisant.
Les céréales, les fruits et les légumes cultivés sur des terres fertiles et fraîchement récoltés constituent la source principale d’une grande quantité de minéraux chargés ioniquement. Mais de nos jours, les terres qui sont les pourvoyeuses naturelles de ces nutriments sont de plus en plus rares et de plus en plus pauvres car les méthodes agressives de l’agriculture les ont épuisées. On essaie de compenser en les arrosant d’engrais artificiels, mais ceux-ci n’apportent que le minimum de minéraux nécessaires à la vie des plantes cultivées. Aujourd’hui, de nombreux minéraux traces constitutifs des aliments, si essentiels à la vie humaine, ne sont plus disponibles dans le sol, donc dans l’alimentation non plus.
Beaucoup de ces éléments qui étaient abondants dans le sol ont été rincés dans l’océan et ils s’y sont répartis dans les mêmes proportions que l’on trouve dans un corps humain en bonne santé. Des proportions idéales que, même aujourd’hui, on n’arrive pas à recréer en laboratoire. Tous les éléments nécessaires à la vie humaine y sont présents, chargés ioniquement et en équilibre parfait, sous une forme idéale pour être absorbés par les cellules du corps.
Ces éléments essentiels existent sous une forme très concentrée et dans de bonnes proportions dans quelques mers intérieures, comme le Grand Lac salé du nord-ouest des États-Unis (Utah). On y retrouve l’équilibre subtil de chaque minéral et de chaque élément trace, qui rend l’eau si vitale pour la santé. C’est la mer en pleine terre la plus ancienne qui existe sur la planète, un vestige de l’âge glaciaire qui a accumulé et concentré au fil des siècles et depuis des dizaines de milliers d’années des minéraux et des éléments trace. Aujourd’hui, ses eaux riches en nutriments contiennent 70 minéraux chargés ioniquement et éléments traces, en concentration de huit à dix fois supérieure à celle de l’eau de mer, et exactement dans les mêmes proportions que les fluides d’un organisme humain en bonne santé.
Il est possible de minimiser la fatigue surrénalienne et l’épuisement qu’elle induit par des changements appropriés de mode de vie, mais aussi par des apports extérieurs de minéraux. Et la meilleure façon d’absorber les minéraux, c’est de le faire grâce à leur forme ionisée qui facilite beaucoup leur passage de la barrière intestinale. Deux compléments alimentaires correspondent à ce critère.
Elete Water : cette solution présente deux avantages : elle aide à se réhydrater mieux que l’eau seule et elle compense les minéraux et les oligo-éléments qui ont disparu de l’alimentation. En prenant Elete régulièrement, vous contribuez à l’hydratation et à l’équilibre minéral qui soutiennent l’ensemble de votre corps physique qui, à son tour, contribue à stimuler votre vie mentale et émotionnelle.
Sa forme liquide comprend un large spectre d’éléments traces sous une forme ionique naturelle. Ces minéraux sont issus de l’érosion d’une grande variété de sols et de roches localisés dans le bassin de drainage du Grand Lac salé. Sa concentration est telle que 1,85 ml (30 gouttes) équivalent à plus de 100 ml d’eau de mer, moins 99 % du sodium qu’elle contient.
Trente gouttes d’Elete Water offent les éléments suivants : lithium, boron, carbonate, calcium, bromure, fluorure, silicone, nitrogène, sélénium, phosphore, iode, chrome, fer, manganèse, titane, rubidium, cobalt, cuivre, antimoine, arsenic, molybdène, strontium, zinc, nickel, tungstène, germanium, aluminium, scandium, étain, lanthane, plomb, yttrium, baryum, argent, cadmium, uranium, gallium, zirconium, vanadium, béryllium, tellurium, bismuth, hafnium, terbium, europium, gadolinium, samarium, cérium, césium, or, mercure, dysprosium, holmium, lutécium, thulium, erbium, ytterbium, néodyme, niobium, tantale, thorium, thallium, rhénium, indium, palladium, platine.
Magnésium : 188 mg ; chlorure : 525 mg ; sulfate : 41,25 mg ; potassium : moins de 7,5 mg ; sodium : moins de 7,5 mg
Il faut prendre 1 goutte pour 2,7 kg de masse corporelle par jour, deux fois par jour, par exemple au petit-déjeuner et au dîner, dans un verre d’eau, de jus de fruit ou de tisane, et de préférence avant les repas. Il est possible de dépasser ce dosage journalier recommandé si on le souhaite, en notant qu’en quantité importante, cela peut avoir un effet laxatif.
ConcenTrace : c’est une solution de minéraux ioniques du grand lac salé de l’Utah. Depuis 1968, Trace Minerals Research fait des recherches pour combattre les déficiences et les déséquilibres en minéraux si courants aujourd’hui. En récoltant les minéraux ioniques du Grand Lac salé, ils fournissent une source stable de minéraux de qualité. ConcenTrace est une formule originale de minéraux à l’état de traces, facilement absorbables et dont la présence dans le corps est cruciale pour le bon fonctionnement de sa physiologie.
Il se présente sous une forme liquide qui comprend, outre les minéraux cités ci-après, un large spectre d’éléments traces sous une forme ionique.
La solution peut être prise dans le cadre d’un régime normal ou pauvre en sodium. Sa concentration est telle que 30 gouttes (1,85 ml) correspondent à plus de 100 ml d’eau de mer, moins 99 % du sodium qu’elle contient.
En absorbant 30 gouttes par jour, le flacon de 227 ml aura une durée de 124 jours. Il est possible de dépasser cette posologie si on le souhaite, cependant noter que l’absorption de ce produit en quantités importantes peut avoir un effet laxatif.
Pour améliorer le goût de l’eau issue de l’osmose inverse, ou de l’eau distillée, ajoutez 5 à 10 gouttes de ConcenTrace par litre d’eau.
Ingrédients : solution concentrée de minéraux naturellement ionisés ; 1,85 ml (30 gouttes) de ConcenTrace contiennent les éléments suivants : lithium, boron, carbonate, calcium, bromure, fluorure, silicone, nitrogène, sélénium, phosphore, iode, chrome, fer, manganèse, titane, rubidium, cobalt, cuivre, antimoine, arsenic, molybdène, strontium, zinc, nickel, tungstène, germanium, aluminium, scandium, étain, lanthane, plomb, yttrium, baryum, argent, cadmium, uranium, gallium, zirconium, vanadium, béryllium, tellurium, bismuth, hafnium, terbium, europium, gadolinium, samarium, cérium, césium, or, mercure, dysprosium, holmium, lutécium, thulium, erbium, ytterbium, néodyme, niobium, tantale, thorium, thallium, rhénium, indium, palladium, platine.
Magnésium : 188 mg ; chloride : 525 mg ; sulfate : 41,25 mg ; potassium : moins de 7,5 mg ; sodium : moins de 7,5 mg.
Il faut prendre 1 goutte pour 2,7 kg de masse corporelle par jour. Il est souhaitable de prendre le ConcenTrace deux fois par jour, par exemple au petit-déjeuner et au dîner. Verser les gouttes dans un verre d’eau, de jus de fruit ou de tisane et ingérer de préférence avant les repas.
Ces deux compléments alimentaires sont de puissants suppléments naturels en minéraux, d’une qualité unique grâce à leur provenance. Leurs effets positifs sur la fatigue des glandes surrénales donnent des résultats rapidement tangibles dans votre vie quotidienne, sur votre santé physique, mais aussi mentale et émotionnelle.
Côté orthosympathique, ce système régit la régulation et, parfois brutalement, l’adaptation du corps aux stimuli et au stress grâce à deux médiateurs chimiques, l’adrénaline et la noradrénaline.
Côté parasympathique, le régulateur discret de la mécanique physiologique est le nerf le plus long du corps humain, le pneumogastrique, dit aussi nerf vague, et qui doit ce nom au fait que, parmi tous les autres nerfs, il possède le territoire d’action le plus étendu.
Il s’agit en fait d’un nerf double aux nombreuses ramifications, qui part du cerveau et descend jusqu’à l’abdomen en passant par les cavités thoraciques. Nos organes l’utilisent, dans un sens, pour transmettre au cerveau des informations chimiques, mécaniques et thermiques ; et dans l’autre sens, le cerveau s’en sert pour transmettre ses commandes à l’ensemble de nos viscères.
L’importance du champ d’action du nerf vague dans les organes et les cellules implique forcément que, s’il dysfonctionne, cela peut entraîner des symptômes très divers, parfois bénins, d’autres fois graves.
Le rôle du nerf vague est de maintenir l’équilibre – l’homéostasie – entre les organes et les différents systèmes du corps, et d’assurer leur fonctionnement optimal : pour maintenir votre forme physique et mentale, pour que vous ne tombiez pas malade, pour que vous ne souffriez pas, pour que vous soyez efficace et heureux de vivre. C’est donc un outil particulièrement utile à notre époque où le monde extérieur et la vie quotidienne sont de plus en plus stressants et fatigants, et où de nombreuses pathologies peuvent se développer en fonction de notre mode de vie.
Le nerf vague constitue environ 75 pour cent de l’innervation parasympathique, celle qui contribue à favoriser la relaxation et à maintenir le calme – au contraire du système nerveux orthosympathique qui est responsable des réactions de combat et de fuite. Ce nerf gère la réponse naturelle au stress et, quand c’est nécessaire, il prépare votre corps à assumer les conséquences de ce stress en augmentant le rythme cardiaque, la pression sanguine et la respiration, et en gérant le taux de sucre.
Plus votre vie est mouvementée, agressive, fatigante, ou plus vous malmenez votre corps (mauvaise alimentation, manque de sommeil, excès…), plus le nerf vague est sollicité. En revanche, dans des conditions normales, quand les systèmes para- et orthosympathiques s’équilibrent, il est très efficace.
En pratique, sur le plan moteur, le nerf vague innerve les muscles élévateurs du voile du palais et certains muscles constricteurs du pharynx et du larynx. Il pilote aussi la sensibilité somatique du pharynx, du larynx et de l’épiglotte, et il assure la transmission d’une partie des informations gustatives.
Il est surtout une voie importante pour le fonctionnement, entre autres, de la trachée, des bronches, des poumons, du cœur, des reins, de la rate, du foie et des intestins, ainsi que de la motricité viscérale. Il régule également la sécrétion des glandes surrénales, du pancréas, de la thyroïde et des glandes endocrines.
Le rôle du cœur étant d’acheminer vers les cellules un sang riche en nutriments et en oxygène qui va les dégorger de leurs toxines, il est donc indispensable que son rythme soit le moins perturbé possible par une vie stressante ou une agression de ses fonctions physiologiques : grande fatigue, mauvaise alimentation, excès…
Or, correctement activé, le nerf vague agit positivement sur la régulation de l’inflammation. Par l’intermédiaire de l’acétylcholine, il envoie aux cellules immunitaires (surtout celles de l’intestin) le signal de réduire l’inflammation dès que celle-ci n’est plus nécessaire.
Comment savoir quand le nerf vague est agressé ou quand il dysfonctionne ? En vous observant vous-même.
Les « responsabilités » du nerf vague sont si nombreuses qu’un dysfonctionnement peut s’exprimer dans des domaines et des zones très divers, en créant une perturbant de votre organisme qui se manifeste alors par certains symptômes. Par exemple : est-ce que vous êtes souvent stressé, ou bien très sédentaire, ou vite fatigué ? Avez-vous une sensation de « boule au ventre » en cas de stress ? Êtes-vous sujet aux ballonnements ? Avez-vous du mal à digérer ? Souffrez-vous d’une maladie inflammatoire, d’un diabète, d’une boulimie (êtes-vous en surpoids), d’une hypertension ? Subissez-vous des troubles du sommeil ?
Ou encore : votre voix est-elle rauque ou monotone ? Faites-vous des fausses routes en avalant ? Avez-vous cessé d’éprouver des sensations de faim ou de satiété ? Perdez-vous votre goût ? Transpirez-vous beaucoup ? Avez-vous du mal à saliver ? Avez-vous l’impression d’uriner peu ? Constatez-vous une baisse de l’excitation sexuelle ? Est-ce qu’il vous semble que votre mémoire est moins performante ? Que votre humeur est très changeante ?
Un ou quelques-uns de ces signes sont suffisants pour vous alerter sur le fonctionnement de votre nerf vague et la nécessité de son rééquilibrage (ces signes d'un dysfonctionnement ne sont donnés qu'à titre indicatif).
Pour éviter de développer ces manifestations d’un mauvais fonctionnement chronique du nerf vague dans certains secteurs, vous pouvez adapter votre comportement au quotidien.
Le stress est la cause la plus commune d’une perturbation du nerf vague. Apprendre à le gérer, ainsi que tous les problèmes qui engendrent un désordre nerveux, est donc une des premières choses à faire pour maintenir son bon fonctionnement, en stimulant votre calme et votre détente. Vous pouvez le faire seul ou avec l’aide d’un spécialiste, pour apprendre à ne pas créer ou à éviter les situations difficiles à gérer, à vous relaxer, etc.
Mais un autre point important est votre apport nutritionnel : il faut consommer au quotidien des aliments qui favorisent la production d’acétylcholine, le principal messager chimique du nerf vague, qui favorise son bon fonctionnement. Ce sont, par exemple : les œufs (leur meilleure source), la viande (fois, bœuf, poulet), le poisson (cabillaud, morue, saumon, crevettes), ainsi que les brocolis, choux de Bruxelles, épinards et légumineuses, ou encore le tofu, le lait de soja et le quinoa.
D’autre part, un microbiote intestinal pauvre, perturbe l’activité du nerf vague, ce qui engendre une mauvaise transmission de ses informations au cerveau et peut amoindrir, entre autres, la faculté de mémorisation.
Enfin, on sait que rire et chanter amplifient la respiration, détendent profondément l’organisme et stimulent positivement le nerf vague. Pourquoi s’en priver !
La stimulation du nerf vague par un style de vie actif mais détendu et une bonne alimentation est indispensable pour empêcher le développement de conséquences plus graves.
Si les symptômes d’un dysfonctionnement du nerf vague perturbent sérieusement votre vie, il existe plusieurs façons de recréer un équilibre satisfaisant entre les systèmes ortho- et parasympathiques.
Un nerf vague qui réagit bien aux stimuli de votre quotidien est l’allié incontournable de votre santé et de votre bien-être. Mais il agit sur des fonctions si diverses de l’organisme qu’on pense rarement à l’impliquer dans un diagnostic. Il est donc d’autant plus important de s’en préoccuper en facilitant le fonctionnement synergique des systèmes para- et ortho sympathiques.
En Asie, les effets de la cannelle sur la glycémie sont connus et exploités depuis des siècles. En Occident, en 2003, les chimistes Richard Anderson et Marilyn Polanski, du Département de l’agriculture des États-Unis (USDA), qui s’intéressaient au diabète, ont découvert par hasard la propriété de la cannelle qui rend les cellules graisseuses beaucoup plus sensibles à l’insuline. Elle est une des épices les plus consommées au monde et une des moins chères. Son composé le plus actif, le polymère de méthylhydroxychalcone, est un polyphénol qui augmente le métabolisme du glucose environ vingt fois dans les cellules graisseuses. Ils ont aussi remarqué, lors d’un dosage des plaquettes sanguines, que la cannelle empêchait la formation de radicaux libres. Or, d’après Anderson, « d’autres études ont montré que les suppléments d’antioxydants peuvent réduire ou ralentir la progression de diverses complications du diabète ». Ces résultats ont été publiés en juillet 2000 dans le magazine Agricultural Research.
Une autre étude a été menée en 2020 par deux centres universitaires coréens pendant 12 semaines, sur deux groupes d’adultes répondant à tous les critères de prédiabète. Ils ont reçu 500 mg de cannelle ou un placebo trois fois par jour, en même temps qu’une alimentation équilibrée. Les résultats ont montré que la glycémie plasmatique à jeun a augmenté avec le placebo, tandis qu’elle est restée stable avec la cannelle. Cette étude prouve donc que les composés de la cannelle présentent des propriétés proches de l’insuline, qui aident à équilibrer la glycémie. Ils permettent également d’améliorer la tolérance au glucose des patients, et tout cela sans effet indésirable.
Il s’agit des résidus obtenus par le pressurage du raisin lors de la fabrication du jus ou du vin : la peau, les pépins et la rafle (la charpente de la grappe). Le marc contient, entre autres, des polyphénols et du ptérostilbène qui jouent un rôle très important dans la réduction de l’hyperglycémie postprandiale et peuvent donc aider le traitement du diabète de type 2.
Les polyphénols font partie de la famille des antioxydants. Ils diminuent les risques du diabète de type 2 et ses complications car ils améliorent la sensibilité du sujet à l’insuline et combattent l’inflammation chronique et le stress oxydatif, qui font partie des facteurs déclenchants du diabète.
Le ptérostilbène est un antioxydant qui possède une excellente biodisponibilité et aucun effet secondaire. Son impact a été étudié, entre autres, sur des rats présentant une résistance à l’insuline. Grâce à la prise de ptérostilbène, qui a amélioré la capture du glucose au niveau hépatique et musculaire, cette résistance a effectivement diminué.
Ce minéral existe en très petite quantité dans l’organisme, mais il y joue un rôle essentiel pour optimiser la nutrition et, en particulier, pour éviter des problèmes métaboliques comme l’obésité, un taux trop élevé de lipides et/ou une intolérance au glucose qui peuvent entraîner un risque cardiovasculaire et favoriser un diabète.
Le chrome stimule les effets de l’insuline et lui permet de maintenir les bons niveaux de glucose sanguin. Il agit alors comme un cofacteur qui « ouvre la porte » des membranes cellulaires pour que le glucose puisse y pénétrer. Un supplément de chrome peut donc améliorer la gestion de la glycémie, participer à rétablir le métabolisme du sucre sanguin et faciliter la perte de poids. Au vu de ces caractéristiques, les études menées sur le rôle du chrome dans l’organisme humain ont confirmé que ses déficiences étaient associées à un grand nombre de maladies incluant le diabète de type 2.
De plus, en renforçant l’efficacité de l’insuline pour maintenir un taux de sucre adapté au métabolisme, le chrome modère les envies de sucre et empêche de grignoter.
Le système immunitaire est un dispositif complexe de défense de l’organisme qui, en cas de besoin, mobilise plusieurs types de cellules et fabrique les molécules adaptées pour combattre l’agression. Ces réponses de l’organisme sont de deux sortes.
Il y a d’abord le système de défense qui crée une immunité innée : il surveille le métabolisme en permanence pour détecter et combattre les cellules anormales, ou les cellules cancéreuses, ou encore celles qui sont infectées par un virus.
Il y a ensuite le système qui engendre une immunité adaptative : il a besoin de quelques jours pour se mettre en place après avoir repéré une agression, le temps de reconnaître l’ennemi pour ensuite l’éliminer. Ses cellules sont des lymphocytes T et B (en particulier ceux qu’on appelle les « cellules tueuses de l’organisme », les lymphocytes T CD8+), et elles se trouvent dans les ganglions lymphatiques.
Le système immunitaire fait donc la différence entre le « bon » et le « mauvais ». Ainsi, il élimine efficacement tous les intrus nocifs, étrangers à notre organisme. Sa fonction principale est de combattre les microbes (les virus, les champignons, les bactéries…) sans aucune aide extérieure. On mesure donc à quel point une fonction immunitaire perturbée a des conséquences invalidantes sur l’organisme, à court et à long terme.
Le système immunitaire est perturbé chez les personnes qui souffrent de maladies auto-immunes. Il crée alors des anticorps ou des cellules immunitaires qui s’attaquent à certaines cellules de l’organisme qu’il considère à tort comme des ennemies.
C’est possible chez les personnes souffrant de diabète de type 1 (qui provoque une hyperglycémie), de polyarthrite rhumatoïde (qui détruit peu à peu les articulations), d’une maladie de Crohn (qui crée une inflammation discontinue de la paroi intestinale), de sclérose en plaques (qui endommage les cellules de la gaine de myéline autour des neurones), d’une thyroïdite d’Hashimoto (qui entretient une hypothyroïdie) ou d’une maladie de Basedow (qui provoque une hyperthyroïdie).
Chez ces personnes, le système immunitaire peut être déréglé, à l’origine, par une susceptibilité génétique ou hormonale particulière. Ou encore par un excès d’hygiène et/ou une prise excessive d’antibiotiques durant la petite enfance. Il arrive aussi qu’elles aient été infectées par un microbe dont un des composants était similaire à un autre appartenant à un type de cellules de l’organisme.
La baisse de l’immunité peut aussi être provoquée par un microbiote en mauvaise santé. Le microbiote intestinal est la principale barrière contre les microbes : 70 % des cellules de défense de l’organisme sont en effet fabriquées au niveau de l’intestin. Une flore intestinale de qualité garantit donc une bonne immunité.
De plus, chez les personnes en surpoids et obèses, le tissu adipeux sécrète des adipocitokines, des protéines pouvant provoquer des micro-inflammations qui, lorsqu’elles deviennent chroniques, altèrent l’immunité.
Le temps qui passe et l’âge sont également des perturbateurs des cellules immunitaires. Vers la soixantaine, leurs compétences commencent à se dégrader. En particulier, les lymphocytes T réagissent de moins en moins bien aux agressions. L’organisme devient donc plus fragile lorsqu’il rencontre un microbe.
La qualité de l’alimentation est un facteur important pour l’efficacité du système immunitaire.
Une alimentation qui n’est pas assez variée limite l’apport en nutriments indispensables au meilleur fonctionnement des défenses immunitaires. Or, on sait que l’alimentation est de moins en moins riche en nutriments à cause des modes de culture modernes. Par exemple, elle est devenue trop pauvre en vitamines C, B6, B9 et B12 et en certains minéraux comme le zinc, qui participent tous au bon fonctionnement du système immunitaire.
Une alimentation trop riche ou déséquilibrée, comme le fast-food, nuit aussi au système digestif, en particulier au microbiote intestinal qui joue un rôle clé dans l’immunité.
Une consommation excessive de sel peut également affaiblir l’immunité, en plus de favoriser l’augmentation de l’hypertension artérielle. Les personnes qui en consomment plus de 6 grammes par jour (ce qui correspond à la teneur en sel de deux repas de restauration rapide) peuvent développer un déficit immunitaire important.
Le manque de sommeil (en moyenne, moins de 6 heures par nuit) perturbe l’immunité et rend plus vulnérable aux infections. En effet, ce déficit écourte le temps du sommeil lent profond, celui qui favorise la fabrication des lymphocytes B qui sont capables d’enregistrer les caractéristiques des microbes puis de fabriquer les anticorps correspondants dans le cas d’une nouvelle agression.
Il faut aussi évoquer certains médicaments (les immunosuppresseurs) utilisés pour lutter contre certains cancers et maladies auto-immunes, et qui pour y arriver affaiblissent l’immunité. C’est aussi le cas de la cortisone quand on la prend sur le long terme.
Un quotidien stressant (il l’est de plus en plus pour de nombreuses personnes) est aussi un facteur de baisse de l’immunité. Le stress rend plus sensible aux infections, et celles-ci durent plus longtemps. Or, les hormones du stress stimulent les récepteurs qui se trouvent à la surface de certaines cellules immunitaires, ce qui les empêche de produire les substances chimiques inflammatoires qui permettent d’éliminer les virus.
Enfin, il y a l’action des saisons. En hiver, le manque de lumière agit sur le moral et crée du stress qui, lui-même, perturbe l’immunité. Il provoque aussi une baisse de production de la vitamine D. De plus, les températures qui chutent facilitent la pénétration des microbes dans l’organisme. Et la muqueuse nasale qui s’assèche perd de son efficacité. Elle laisse donc passer plus de virus. Le corps tout entier a une réponse immunitaire ralentie par le froid et lutte donc moins efficacement contre les agents pathogènes. Quant aux virus, leur enveloppe est plus résistante en hiver, ils sont donc mieux protégés contre l’action du système immunitaire.
Quelle que soit l’origine de la baisse de l’immunité (maladies auto-immunes, alimentation, stress, saisons…), elle provoque une sensibilité accentuée aux infections, qui peut se manifester en provoquant :
Au quotidien, vous vous sentez faible et fatigué, de mauvaise humeur. Vous avez plus de mal à vous concentrer sur votre travail. Vous manquez d’énergie, physique et mentale. Vos petites blessures s’infectent au lieu de cicatriser. Une simple grippe peut s’aggraver et devenir fatale. Vous êtes plus sensibles aux virus, comme celui du Covid.
Les allergies, si vous y êtes sujet, sont plus fréquentes, et le printemps peut devenir une saison très pénible à cause des pollens diffusés par les arbres et les fleurs, qui entraînent une production excessive de lymphocytes Th2 par rapport aux lymphocytes Th1. Un excès se traduisant par une surproduction d’anticorps spécifiques, les immunoglobulines du type E, qui déclenchent la réaction allergique.
Votre comportement au quotidien peut contribuer à protéger votre immunité et à l’améliorer lorsqu’elle est perturbée, donc moins efficace.
Par exemple, veillez à avoir le rythme de sommeil le plus régulier et suffisant possible : quand vous êtes éveillé, les lymphocytes T circulent dans votre sang pour lutter contre les infections. Mais quand vous dormez, ils se concentrent dans vos ganglions lymphatiques où des cellules spécifiques leur transmettent de l’information sur les micro-organismes infectieux circulant dans votre corps, pour qu’ils puissent les reconnaître puis les chasser. Sans un sommeil suffisant, vos lymphocytes T ne peuvent donc pas développer leur mémoire immunitaire et n’ont pas assez d’informations pour bien faire leur travail.
Il faut aussi veiller à avoir une alimentation saine, équilibrée, riche en légumes, en fruits et en produits frais, et qui comprenne le moins possible de produits transformés et non biologiques. Bref, des aliments riches en vitamines et en probiotiques de bonne qualité.
Une activité physique régulière est aussi un atout précieux pour conserver une immunité efficace : quand on pratique un sport, le corps se réchauffe et l’augmentation de sa température ralentit la croissance des bactéries. De plus, les activités sportives relaxantes diminuent la production des hormones du stress, donc leur action négative sur l’immunité.
Maintenir un poids de forme est aussi un facteur essentiel : si le corps fabrique trop de tissus adipeux, s’il reçoit trop d’apports énergétiques, si son estomac et ses intestins sont constamment sollicités, il perd beaucoup de temps et d’énergie à gérer ces excès, aux dépens de son immunité.
Enfin, en essayant d’éviter les situations de pression, de trac ou de tension, et en favorisant les activités relaxantes, on fabrique moins d’hormones du stress dont l’action réduit la réponse immunitaire.
On sait aujourd’hui qu’à cause des méthodes modernes de culture et d’élevage, de la pollution de l’air et de l’eau, et de la présence des ondes électromagnétiques, l’alimentation n’apporte plus en quantités suffisantes tous les micronutriments nécessaires à une bonne santé en général, et à une immunité efficace en particulier. Dans ces conditions, les compléments alimentaires sont devenus des alliés précieux.
Ils sont utiles toute l’année pour combler ces lacunes, et pas seulement aux périodes saisonnières de baisse de l’immunité. Il s’agit principalement des vitamines, du magnésium, du zinc, du fer et des probiotiques.
La vitamine A est indispensable pour stimuler vos défenses immunitaires. Elle est liposoluble, donc se dissout dans les graisses et les huiles. Dans l’organisme, elle intervient dans la croissance des os et la pigmentation de la rétine. Un bon dosage est indispensable car la carence aussi bien que le surdosage peuvent gravement toucher l’organisme. Pour ce qui concerne le système immunitaire, elle booste le développement des lymphocytes dont la mission est de défendre l’organisme contre les infections.
Les vitamines B sont au nombre de huit, qui servent à stimuler vos défenses naturelles, en particulier les vitamines B6, B9 et B12. Elles sont hydrosolubles et se dissolvent dans l’eau. La vitamine B9, ou acide folique, participe en particulier au bon fonctionnement du système immunitaire. Et la B12 permet le renouvellement cellulaire.
La vitamine C est aussi très importante pour le bon fonctionnement du système immunitaire, mais l’organisme n’est pas capable de la stocker ni de la synthétiser. Elle est utile en particulier avant ou après une activité sportive ou physique, ou chez les femmes enceintes. Elle permet aussi de stimuler la production des cytokines qui activent la réponse immunitaire en cas d’intrusion de microbes. Un apport suffisant est donc indispensable pour permettre au système immunitaire de bien faire son travail.
La vitamine D est indispensable au système immunitaire. Elle est liposoluble. L’organisme la synthétise grâce aux rayons ultraviolets du soleil au niveau de la peau. C’est, en fait, une hormone qui a plusieurs fonctions : elle est très stimulante pour nos défenses naturelles, elle est utile pour renforcer les os en absorbant du calcium et du phosphore, et elle active les globules blancs. Une carence en vitamine D est fréquente en hiver.
La vitamine K2 (ménaquinone) est en grande partie synthétisée par les bactéries intestinales. Des études récentes ont montré que sa carence pouvait provoquer l’apparition de formes sévères du Covid.
Le magnésium facilite la synthèse des immunoglobulines, protéines essentielles qui reconnaissent les cellules immunitaires et agissent sur leurs bonnes liaisons et leur fixation. Il participe aussi au développement des lymphocytes T, les « cellules tueuses » des virus et des cellules cancéreuses. Il joue également un rôle essentiel pour fixer la vitamine D qui agit fortement sur l’immunité.
Le zinc est présent en petites quantités dans l’organisme, mais il y joue un rôle très important, entre autres dans le développement et le fonctionnement des cellules immunitaires. Il active les lymphocytes B et T, et participe donc à réduire la durée et l’intensité des symptômes d’une baisse de l’immunité. Par exemple, en hiver, il contribue efficacement à lutter contre le rhume et la grippe. Ou encore, si les défenses immunitaires s’emballent quand la présence d’un agent nocif entraîne une production trop abondante de globules blancs, donc une réponse inflammatoire nocive (l’orage cytokinique), il participe à la création d’un bouclier de défense. La présence de zinc en quantité suffisante dans l’organisme renforce aussi sa résistance face aux allergènes. Enfin, le zinc agit sur les virus et les bactéries.
Le fer, en cas de carence, entraîne une diminution spectaculaire des neutrophiles, des globules blancs qui sont essentiels au bon fonctionnement du système immunitaire. Or, la carence en fer est plutôt fréquente au sein de la population.
Les probiotiques introduisent dans le système digestif des bactéries spécialisées qui soutiennent et stimulent l’action du microbiote intestinal, qui évitent la prolifération de germes et qui rétablissent en partie l’équilibre de l’immunité innée.
Notre système immunitaire est de plus en plus agressé, et les conséquences de plus en plus visibles dans la population. Tous les compléments alimentaires indispensables au bon fonctionnement de l’immunité sont disponibles sur notre site de produits naturels.
Ce complément alimentaire est en particulier très efficace contre les maladies pulmonaires, pour régénérer le foie, contre certaines intoxications et addictions, contre la dépression… La NAC est un excellent complément alimentaire, notamment l’hiver, pour préserver l’organisme des virus et autres infections. Elle participe donc activement, et à tous les niveaux, à la défense de l’organisme, et au bien-être physique et psychique.
L’acide alpha R lipoïque est un acide soufré qui entre et sort facilement des cellules et dont l’action antioxydante s’exprime à la fois en milieu hydrosoluble et liposoluble. Sa propriété principale est de capturer ou de retirer directement les radicaux libres des autres antioxydants. Il est également capable de recycler le glutathion, l’antioxydant majeur de l’organisme, à qui il donne un moyen supplémentaire de réduire les effets négatifs des radicaux libres dans tous les tissus du corps. L’acide alpha R lipoïque a d’autres propriétés. Il soutient le foie dont le rôle est de dégrader les molécules chimiques et de transformer les déchets produits par les autres organes. Le foie contient donc en permanence de nombreux radicaux libres mais aussi, heureusement, de bonnes réserves de glutathion. Tant que l’équilibre entre ces deux paramètres est respecté, le foie reste en bonne santé.
L’acide alpha R lipoïque est à la fois soluble dans l’eau et dans les graisses, il est donc efficace dans tous les tissus du corps et peut neutraliser plusieurs types de radicaux libres. Il capte également les métaux toxiques tels que l’arsenic, le cadmium, le mercure et le plomb, ainsi que le fer ou le cuivre en excès. En tant que dérivé soufré, il chélate les métaux lourds qui se fixent de préférence dans les corps gras, c’est donc un excellent détoxifiant. L’acide alpha R lipoïque est également utile dans les cas de neuropathie, une complication du diabète. Il réduit les dommages des protéines liées à l’excès de sucre. Il inverse les effets négatifs du diabète sur les yeux, les nerfs et le cœur. Il améliore également les récepteurs à l’insuline. L’acide alpha R lipoïque est également capable d’augmenter la production d’énergie en facilitant le transport du glucose dans les muscles. En effet, la vitamine C et le glucose utilisent le même transporteur pour pénétrer dans les tissus et sont alors en concurrence. S’il y a trop de glucose, il n’y aura pas assez de vitamine C dans les cellules.
L’acide alpha R lipoïque utilise d’autres transporteurs, ainsi il permet à la vitamine C de se régénérer et évite une déficience intracellulaire. L’acide alpha R lipoïque est aussi très bénéfique sur la sphère oculaire : le glaucome, la cataracte et la DMLA… En cas de cataracte, la cornée a une trop faible teneur en glutathion. L’apport d’acide A lipoïque augmente cette teneur et celles des vitamines C et E, ce qui bloque la formation de la cataracte.
Sur le plan neurologique, l’acide alpha R lipoïque prévient le vieillissement cérébral. Il faut utiliser la forme R naturelle qui est plus active sur les mitochondries, plutôt que la forme S, artificielle. Le vieillissement dépend plutôt de l’état des mitochondries que de l’âge lui-même. Ces petites usines au sein de nos cellules produisent l’énergie indispensable pour réparer l’ADN et lutter contre l’oxydation… Elles régulent notre métabolisme et, si elles sont défaillantes, la conversion des aliments en énergie se fait moins bien, augmentant les risques de fatigue chronique, de sarcopénie, de fibromyalgie, de maladie d’Alzheimer et autres pathologies neurodégénératives. Chaque organisme en possède dix mille milliards qui produisent chaque jour 40 kg d’ATP (molécules clés de l’énergie cellulaire produites par les mitochondries). Mais avec l’âge, l’oxydation augmente et abîme les mitochondries, tout comme le fait une mauvaise oxygénation, l’hypothyroïdie, un mauvais métabolisme des graisses, un excès d’insuline, un manque de cortisol, le stress, ainsi que toutes les pollutions alimentaires, environnementales et électromagnétiques. Ces accélérateurs de vieillissement baissent le rendement des mitochondries qui deviennent alors de plus en plus fragiles face aux radicaux libres. C’est là que l’acide R alpha lipoïque est utile en permettant une utilisation meilleure et plus prolongée de la vitamine C qui régénère les mitochondries. Enfin, des études ont démontré, en 1997, que l’acide alpha R lipoïque inhibait la production excessive de cytokines, ce qu’on appelle « l’orage cytokinique » qui entraîne une réponse inflammatoire du système immunitaire. Cette faculté est particulièrement intéressante aujourd’hui face à certaines formes de grippe.
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L’origan, qu’on appelle aussi la marjolaine sauvage, est une herbacée vivace qui est le composant principal de l’Origaphyt. Il est originaire de la Méditerranée où ses propriétés médicinales sont connues et utilisées depuis l’Antiquité. Il doit son efficacité fongicide et bactéricide à sa haute teneur en composés phénoliques, et plus particulièrement au carvacrol, un phénol très efficace contre la contamination bactérienne.
L’origan à l’état sauvage pousse sur des terrains caillouteux et calcaires, c’est-à-dire riches en minéraux, auxquels il doit ses vertus nutritionnelles et thérapeutiques.
Il a une odeur forte et un goût épicé, presque amer, très caractéristiques. Ses feuilles sont remplies d’une huile qui représente environ deux pour cent du poids de la plante sèche et peut être extraite par distillation lorsqu’on sèche les feuilles. Cette huile peut se conserver sur une longue période sans rancir.
L’origan contient une diversité et une densité minérales sans égales dans le règne végétal. Ses minéraux sont très nombreux. Par exemple, parmi les plus importants : le calcium, le magnésium, le fer, le phosphore, le cuivre, le zinc, le bore, le potassium et le manganèse qui en font une des sources de minéraux les plus riches parmi les plantes.
Par exemple, à poids égal, il contient plus de calcium que le fromage, les légumes verts, le saumon, les sardines, et seize fois plus que le lait ! Un complément alimentaire à base d’origan est donc un concentré naturel de calcium.
Sa teneur en fer est encore plus impressionnante : 100 g de plante contiennent 50 mg de fer à l’état organique. Il est répertorié comme l’une des huit sources alimentaires les plus riches en fer, bien avant le foie animal, la viande rouge et les œufs. C’est d’autant plus intéressant que le type de fer à l’état naturel, celui qu’on retrouve dans les plantes et en particulier l’origan, ne présente aucune toxicité et convient à la consommation des hommes et des femmes de tous âges.
Il fait partie de ses vingt sources alimentaires les plus importantes de magnésium et en contient une quantité intéressante, qui dans l’organisme contribue au métabolisme du calcium. Le magnésium est un minéral essentiel à de nombreuses fonctions, depuis la formation osseuse jusqu’à la synthèse des protéines.
L’origan offre aussi une quantité impressionnante de zinc (4 mg pour 100 grammes) dont la carence concerne de plus en plus de personnes et peut conduire, entre autres, à des troubles de l’attention.
Il contient également du cuivre (jusqu’à 1 mg pour 100 g), une quantité intéressante car ce minéral est difficile à trouver dans la chaîne alimentaire. De plus, le cuivre contenu dans l’origan est très biodisponible et facile à absorber par l’organisme.
Enfin, l’origan contient du potassium en grande quantité (1,7 g pour 100 g de plante) et qui est facile à absorber, donc idéal pour suppléer aux carences.
Pour ce qui concerne les vitamines, les études sont moins avancées, mais on sait que l’origan contient autant de niacine (B3) que la viande bœuf, le riz et le blé complet, ainsi que du bêtacarotène (précurseur de la vitamine A), des vitamines C, E et K, de la riboflavine (B2) et de la thiamine (B1).
L’origan est aussi une bonne source de flavonoïdes qui possèdent des propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires et antidouleur. On pense que certains types de flavonoïdes peuvent même aider à combattre le cancer et aider le corps à éliminer les cellules cancéreuses.
Grâce à toute cette richesse, l’origan a un potentiel reconnu en tant qu’antioxydant efficace, mais aussi de précieuses propriétés antimicrobiennes, antifongiques et anticancérigènes.
L’huile de l’origan contient des centaines de composants. La plupart sont classés en quatre grandes catégories.
Les phénols, des composés chimiques aromatiques présents dans de nombreuses plantes. Les principaux contenus dans l’origan sont le carvacrol et le thymol, deux puissants antiseptiques naturels. Comme tous les phénols, ils agissent par un effet caustique sur les tissus, qui explique l’action destructive de l’origan sur les microbes, ainsi que les cellules cancéreuses. Ils ont aussi une action antioxydante.
Les terpènes, des hydrates de carbone à longue chaîne moléculaire qu’on trouve dans beaucoup d’huiles végétales. Ils sont hautement solubles dans la graisse, c’est-à-dire qu’ils y pénètrent facilement, y compris à travers les membranes riches en lipides des cellules vivantes. Ce sont de puissants antiseptiques, antiviraux et anti-inflammatoires. L’huile d’origan contient des douzaines de terpènes parmi lesquels le pinène, le bisabolène, le caryophyllène, le cymène et le terpinène.
Des types d’alcool à grosses molécules contenus dans l’huile de l’origan et qui n’ont aucun effet toxique. On les appelle alcools à chaîne longue et ils ont une utilité thérapeutique assez efficace en tant qu’antiseptiques, et surtout en tant qu’antiviraux. Les alcools à chaîne longue de l’origan sont le linalol et le bornéol.
Enfin, les esters contenus en grande quantité dans l’huile d’origan : l’acétate de géranyl et l’acétate de linalyl, qui sont connus pour leurs propriétés antifongiques. Ils offrent aussi un léger effet sédatif et relaxant et favorisent la circulation du sang à travers le corps.
C’est une herbacée annuelle qui, depuis des siècles, est une épice traditionnelle de la médecine ayurvédique (Inde). Les peuples de l’Antiquité utilisaient ses graines dans leur alimentation, pour stimuler l’appétit et donner du goût aux plats, mais aussi comme médicament pour traiter principalement la sphère digestive, et en particulier pour lutter contre le ballonnement. C’est de ses graines dures et noires, composées de lipides, de glucides, de protides, d’acides aminés, d’éléments minéraux et de vitamines, qu’on extrait son huile. Et la valeur de cette huile dépend de la qualité des graines, qui dépend elle-même de leurs conditions de culture liées au sol, au climat, à leur maturité, à leur mode de récolte, à leur sélection, à leurs conditions d’extraction, puis de conditionnement et de conservation.
Des études récentes ont aussi découvert que le cumin noir (ou nigelle) était antiseptique, anti-inflammatoire, et luttait contre les rhumes, les grippes et les fortes fièvres.
Son composant le plus actif est la thymoquinone qui a été étudiée dès les années 1960, et auquel on a trouvé des propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires (elle renforce le système immunitaire), antibactériennes et antidouleur.
Des études ont démontré qu’elle pouvait, entre autres, atténuer la rhinite allergique, et même réduire la sévérité des crises d’asthme. Elle a aussi une action sur le système respiratoire (protection du tissu pulmonaire, propriétés antiasthmatiques…).
Le cumin est une plante remarquable par sa concentration en minéraux.
C’est une des plantes les plus riches en calcium (934 mg/100 g) qui se fixe bien dans les os grâce aux phytoœstrogènes qu’il contient aussi.
Il contient une bonne quantité de phosphore (499 mg/100 g), essentiel, entre autres, au bon fonctionnement des cellules nerveuses et indispensable au dynamisme musculaire et cérébral.
Il est riche également en magnésium (366 mg/100 g), qui est essentiel, entre autres, au bon fonctionnement du système digestif, ce qui est une des propriétés les plus intéressantes du cumin.
Il contient une intéressante quantité du fer (66,4 mg/100 g) qui est essentiel, entre autres, au transport de l’oxygène dans tout l’organisme.
On y trouve aussi du manganèse (3,33 mg/100 g) qui intervient dans le métabolisme des protéines, des lipides et des glucides, dans la production d’insuline et un grand nombre de réactions enzymatiques.
La graine de cumin est riche également en bêtacarotène (0,8 mg/100 g), précurseur de la vitamine A, qui est un antioxydant et qui permet de lutter contre le vieillissement cellulaire. Mais aussi en flavonoïdes, en tanins, en mucilages et en vitamines B1 (thiamine), B2 (riboflavine), B6 (pyridoxine), B9 (acide folique), PP, C, K, etc.
L’origine du mot sauge vient du latin salvare qui veut dire « sauver, guérir ». Elle a une saveur aromatique puissante et un peu épicée, agréable en infusion. Depuis l’Antiquité elle est reconnue pour ses nombreuses vertus : digestion, purification, santé de la peau et fertilité. Aujourd’hui, on a étudié et utilisé ses propriétés antiseptiques, antioxydantes, toniques (digestion), antispasmodiques, antibactériennes et microbiennes, antisudorales.
On a constaté ses effets sur la digestion, les brûlures d’estomac et les ballonnements, dans le traitement des inflammations et des infections de la bouche comme les stomatites (inflammations de la bouche), de la gorge et du nez, les gingivites et les pharyngites, ainsi que la transpiration excessive. Elle est toujours un symbole de force et de santé.
Les substances actives de la sauge sont des flavonoïdes (composés antioxydants), des diterpènes antimicrobiens et anti-inflammatoires (salviol, carnosol, picrosalvine, rosmanol…), des triterpènes antidiabétiques (acides ursolique, oléanique…), des acides phénoliques antioxydants (acide chlorogénique, rosmarinique…), des tanins antimicrobiens et antiviraux, et des essences antiseptiques et antivirales dont le pinène, le camphre et les thuyones, ainsi que des acides, de la résine, du mucilage, des sels, des vitamines (en particulier la vitamine K), des œstrogènes et des acides aminés (asparagine).
La racine de gingembre bénéficie d’une teneur exceptionnelle en nutriments, ce qui en fait un excellent aliment, très peu calorique. Mais elle a aussi des propriétés médicinales : un grand pouvoir antioxydant, des vertus anti-inflammatoires, des qualités cardiovasculaires et la capacité de soulager les troubles digestifs. Chez l’homme, quelques études ont montré que la consommation de gingembre frais donnait des résultats prometteurs pour diminuer les douleurs de l’arthrite.
Le gingembre frais est très riche en glucides et en fibres. Il est une source importante de vitamine B9, ainsi que de vitamines C, E, A, B1, B2, B3, B5 et B6, en plus faibles quantités. Son rhizome se distingue par sa teneur en sels minéraux et oligo-éléments comme le calcium, l’iode, le magnésium, le phosphore, le sodium, le zinc et le fer.
Le gingembre est une excellente source de manganèse qui agit en tant que cofacteur d’enzymes facilitant plusieurs processus métaboliques. Et il joue également un rôle dans la prévention des dommages causés par les radicaux libres.
Il contient de bonnes quantités de potassium qui joue un rôle dans la circulation du sang et contre l’hypertension
Cru, le gingembre est aussi une source de cuivre qui est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et de la protéine collagène servant à construire et à réparer les tissus de l’organisme. Ce cuivre appartient également à plusieurs enzymes du gingembre qui contribuent elles aussi à défendre le corps contre les radicaux libres.
Son rhizome contient une quarantaine de composés antioxydants. Les principaux composés phénoliques actifs qui lui donnent son goût piquant sont le (6)-gingérol et le (10)-gingérol qui ont aussi d’excellentes propriétés anti-inflammatoires (bronchite, toux…) et antioxydantes, ainsi qu’un potentiel anticancer démontré in vitro.
Il contient enfin bien d’autres composés chimiques comme de l’huile (oléorésine), de l’amidon, de l’acide ginger sulfonique, des monoterpènes (puissants antiseptiques et désinfectants), des sesquiterpènes (antimicrobiens)…
L’écorce de cannelle à des propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires, bactéricides, antivirales, antiparasitaires et antiseptiques. Elle est très efficace pour soigner tous les maux courants de l’hiver : le rhume, la toux, la grippe et les autres virus. Et grâce à ses propriétés antioxydantes et sa forte teneur en minéraux et en vitamines, elle contribue à renforcer le système immunitaire, et elle agit contre les virus et les microbes.
Il a aussi été démontré que la cannelle améliorait le syndrome métabolique associé à une résistance à l’insuline, à une élévation du glucose et des lipides, à une inflammation, à une diminution de l’activité antioxydante, à une augmentation de la prise de poids et à une glycation accrue des protéines. De plus, elle atténue les facteurs associés à la maladie d’Alzheimer et aux accidents ischémiques cérébraux en bloquant le gonflement des cellules. De plus, les composants de la cannelle contrôlent la formation de nouveaux vaisseaux sanguins associée à la prolifération des cellules cancéreuses. Ses composants peuvent jouer un rôle important dans l’atténuation et la prévention des signes et des symptômes du syndrome métabolique, du diabète de type 2, des maladies cardiovasculaires et des maladies connexes.
Son écorce est composée de deux éléments antioxydants, des proanthocyanidines (PAC), des antioxydants qui ont un fort pouvoir protecteur sur l’organisme, et le cinnamaldéhyde qui a des propriétés anti-inflammatoires, antivirales, antibactériennes et antifongiques. Elle contient aussi une des sources les plus élevées au monde de tanins qui permettent de resserrer les tissus.
La cannelle est aussi une bonne source de manganèse et contient un peu de fer, deux oligo-éléments qui sont indispensables au fonctionnement du système immunitaire.
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Voici un tour d’horizon des bienfaits de la quercétine sur l’organisme, signé Apoticaria !
Le pouvoir antioxydant de la quercétine en fait un élément très prisé pour lutter contre les radicaux libres. Intégrant non seulement des vitamines mais aussi un vaste panel d’oligo-éléments et de micronutriments, les antioxydants permettent à la fois de réduire les risques de maladies tout en prévenant le vieillissement cellulaire.
Voici quelques propriétés incontournables, caractéristiques de ce polyphénol :
Parmi les bienfaits de la quercétine, il est important de se pencher sur la facette anti-inflammatoire de ses principes actifs. De nombreuses études ont d’ailleurs traité de ce point, venant confirmer ses effets bénéfiques. Essentielle dans la régulation intestinale, la quercétine est notamment réputée pour minimiser l’action des prostaglandines et des cytokines, responsables de nombreuses inflammations à l’image de la prostatite.
Les bienfaits de la quercétine sont donc nombreux, mais ils vont encore plus loin. Action antihistaminique, effets bénéfiques sur la digestion, lutte contre les agressions des rayons UV… Cet antioxydant naturel a de nombreux tours dans son sac !
De façon à maximiser les bienfaits de la quercétine, celle-ci est d’ailleurs proposée sous forme de compléments alimentaires plus concentrés. Dans ce cadre, les gélules Quercevital Eliphe CA17 peuvent devenir un allié extrêmement judicieux au quotidien, et ce, sans effets secondaires.
La quercétine est un flavonoïde aux nombreux bienfaits et dont la réputation n’est plus à faire. Mais malheureusement, ce composé n’est que très peu soluble à l’état naturel ! En d’autres termes, même si certains aliments en sont riches, l’organisme n’est capable d’en assimiler qu’une quantité infime. Cela limite drastiquement les bénéfices liés à sa consommation. C’est justement dans le but d’accroître sa solubilité et de maximiser ses effets sur l’organisme, que la technologie Phytosome Quercefit®® a été élaborée. Aujourd’hui, ces nutraceutiques permettent de bénéficier de la quercétine la plus biodisponible du marché, qui est aussi 100 % naturelle. C’est d’ailleurs pourquoi nous l’avons choisie dans la formulation du Quercevital.
Apoticaria regroupe ici les éléments principaux à connaître dans ce domaine. Propriétés de ces bioflavonoïdes, approche biomimétique innovante sur laquelle s’appuient les mécanismes Quercefit®, chiffres-clés... Tout est là pour répondre à vos interrogations !
Quercefit® propose d’optimiser la solubilité de la quercétine dans les fluides gastro-intestinaux, et ce, totalement naturellement. Grâce au principe de dispersion solide, via une matrice de lécithine de qualité alimentaire, le niveau plasmatique de quercétine est ainsi jusqu’à 20 fois plus important que dans le cadre d’une consommation qui ne serait pas formulée.
Sans nanoparticules, sans adjuvants, sans ingrédients de synthèse et sans effets secondaires, Quercevital affiche donc une bioabsorption inégalée. Pour cela, l’idée est de trouver l’équilibre parfait entre hydrophilie et lipophilie. Entre dissolubilité et capacité à se mouvoir à travers les parois lipidiques.
Quelle est la clé de voûte de l’approche Quercevital? Nature as measure. Ce concept, qui consiste en l’étude du vivant en tant que source d’inspiration et que garde-fou, vient apporter une dimension éthique à toute forme d’innovation. Mais avant tout, elle permet à des systèmes prometteurs de voir le jour, grâce à une analyse poussée des processus naturels.
C’est exactement cet attrait pour le biomimétisme qui a permis aux technologies phytosomales Quercefit® de se développer. L’idée est donc de miser sur les forces des phospholipides pour faciliter l’assimilation des substances. Existant naturellement dans notre organisme, ils permettent le transport de molécules à travers les membranes, tout en préservant l’intégrité des éléments ainsi mus. Afin de bien visualiser le mode de fonctionnement de ces capsules naturelles, il faut savoir que l’enveloppe des liposomes se compose de deux sphères concentriques. Celles-ci sont faites des têtes hydrophiles et contiennent, entre ces deux parois les queues lipophiles.
C’est donc vers les lécithines que s’est porté le choix pour concevoir ces enveloppes et ainsi booster la biodisponibilité de la quercétine.
Grâce à ces excipients de qualité alimentaire que sont les lécithines, Eliphe frappe fort : aucun composant chimique ne vient altérer le naturel de Quercevital. Les principes actifs, vitamines et minéraux de la quercétine sont ainsi capables de libérer leur plein potentiel, de manière à :
D’autre part, la tolérance de cette formulation végétale est maximale. Les individus diabétiques, suivant des traitements antiplaquettaires ou encore anticoagulants, pourront donc également consommer Quercefit®.
Quercefit® est une technologie éprouvée, appuyée par un certain nombre d’études scientifiques. Ainsi donc, les gélules Quercevital Eliphe CA17 issues de cette formulation de quercétine phytosomale, vous proposent de multiples bienfaits. En augmentant la solubilité de ce flavonoïde d’origine végétale et en maximisant son potentiel d’assimilation, les effets sur la santé ne peuvent qu’en être améliorés. Que ce soit pour accroître ses performances sportives, renforcer ses défenses immunitaires, profiter d’un effet anti-âge, faire face aux allergies mais aussi lutter contre le stress oxydatif, ce complément alimentaire est un allié au quotidien.
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Toutes les plantes contiennent du silicium en quantités variables. Elles pompent dans le sol le silicium minéral puis elles le raffinent pour le rendre assimilable par leurs propres cellules. Et c’est ainsi que les organismes humains qui consomment ces plantes ont ingéré pendant des siècles un silicium naturel, mais peu assimilable par l’organisme. De plus, le silicium contenu dans les eaux minérales, sous forme de silicate, est encore moins assimilable.
Dans les années 1970, un procédé est mis au point qui permet de produire des solutions contenant un pourcentage important de composés organosiliciés, parfaitement assimilables par l’organisme humain. Ce silicium « organique » pénètre dans le corps et dans ses cellules sans qu’il faille passer par la consommation de plantes, et en plus grande quantité. Depuis, les études entreprises ont montré sa grande efficacité dans de très nombreuses pathologies qui touchent l’organisme humain.
Le silicium est naturellement un minéral. Mais les recherches menées dans les années 1970 ont montré qu’il devient organique lorsqu’il est attaché à un atome de carbone tétravalent. C’est cette transformation obtenue par synthèse qui le rend parfaitement assimilable par notre organisme. Ce monométhylsilanétriol, ou silicium organique, est devenu hydrosoluble, ce qui le rend métabolisable et ce qui favorise, en particulier, son assimilation et donc sa biodisponibilité. De plus, sa bipolarité électrique lui donne des fonctions hydro- et liposolubles qui lui permettent de traverser à la fois les milieux aqueux et gras de l’organisme.
La forme utilisée, le méthylsilanétriol, est un excellent véhicule, ainsi qu’un réservoir de silicium bien plus efficace que toutes les autres formes de silice. Il permet de distribuer dans l’organisme un silicium très bien assimilable, mais il sert aussi de vecteur pour d’autres molécules, en les aidant à cibler et à renforcer leur action.
À la suite des études qui ont confirmé son efficacité, le monométhylsilanétriol, qui est la seule forme organique de silicium autorisée, a été mis sur le marché dans l’Union européenne en tant qu’ingrédient des compléments alimentaires.
Un des rôles principaux du silicium organique est d’assurer la bonne cohésion du tissu collagène dans tout l’organisme. En effet, le collagène est une protéine qui agit dans la majorité des structures du corps comme une armature efficace, sans laquelle tous nos tissus seraient réduits à un amas informe. Il existe plus d’une vingtaine de types de collagène dans le corps humain, qui entrent dans la composition :
- des os, des tendons, des ligaments, de la peau et de plusieurs organes internes,
- des cartilages et de la structure des yeux,
- des muscles squelettiques et des parois des vaisseaux sanguins,
- de la plupart de nos organes internes,
- de la plupart de nos tissus conjonctifs.
En réalisant des ponts de liaison solides entre les fibres qui constituent le tissu collagène, le silicium organique assure l’efficacité et la qualité de ce tissu, qui sont des conditions fondamentales pour le bon état et le bon fonctionnement de l’organisme tout entier.
Dès la naissance, le corps humain contient en moyenne 7 grammes de silicium, c’est-à-dire qu’il est deux fois plus présent que le fer. C’est dire son importance sur le plan biologique. Il est présent dans différents tissus et organes du corps, mais il est avant tout l’un des composants majeurs des tissus conjonctifs : les os, le cartilage, la peau, les parois vasculaires, les tendons et les muscles – en fait, les tissus les plus importants du corps.
Le problème, c’est que la capacité de notre organisme à stocker le silicium diminue au fur et à mesure que l’on vieillit. À partir de l’âge de 55 ans, l’organisme n’en contient plus qu’environ 4 grammes, presque moitié moins. Il n’est plus aussi capable de l’assimiler et ses réserves en silicium organique ont alors tendance à s’amenuiser.
On peut donc dire que la perte de silicium est étroitement liée au vieillissement. Cette perte entraîne en effet l’altération progressive des fibres de collagène des os, des cartilages, de la peau, des ongles et des cheveux, qui favorise le développement d’affections comme l’arthrose, l’ostéoporose, le relâchement cutané, les rides, les problèmes cardiovasculaires…
Cette baisse du silicium dans l’organisme est d’autant plus prononcée que les modes alimentaires ont changé – on consomme de plus en plus de produits transformés, de moins en moins de légumes du potager –, mais aussi les modes de vie – on a de moins en moins d’activité physique et un sommeil de plus en plus déréglé qui perturbent l’assimilation des nutriments. Une supplémentation en silicium organique participe donc étroitement à la longévité, mais aussi à la qualité de vie.
Une autre fonction importante du silicium est d’assurer la bonne distribution des principes actifs dans l’organisme. Comme, sous sa forme organique, il change facilement de polarité (positive ou négative), il peut capter les oligo-éléments comme le magnésium, le sélénium, le phosphore… ou d’autres molécules qui passent à sa portée. Il se lie à eux puis il les achemine efficacement vers les cibles auxquelles ils sont destinés. Il renforce ainsi leur action et il en potentialise les effets bénéfiques sur l’organisme.
Le silicium est un élément majeur pour toutes les structures de soutien de l’organisme, et d’une grande importance pour divers tissus : muscles, tendons (meilleures mobilité et flexibilité), os, cartilages (meilleure rigidité et régénération). Il agit aussi au niveau vasculaire (pour maintenir la fonctionnalité et la tonicité du système) ainsi qu’au niveau de la peau (son élasticité, sa structure et la synthèse de son collagène).
Son rôle est essentiel dans les réactions impliquées par le système immunitaire.
Le silicium organique peut être utilisé régulièrement, comme complément de fond, pour :
- optimiser la croissance des enfants et leur assurer le développement d’une bonne dentition,
- favoriser la régénération cellulaire dans tout l’organisme,
- stimuler le processus de production de l’élastine et le renouvellement cellulaire du tissu conjonctif de la peau, maintenir une excellente élasticité et une hydratation profonde,
- prévenir le développement l’ostéoporose et favoriser la souplesse osseuse (il renforce la densité osseuse des hanches),
- reminéraliser les zones décalcifiées,
- éviter la fracture du col du fémur,
- prévenir le développement d’affections coronariennes,
- maintenir la souplesse des artères,
- favoriser l’élasticité vasculaire,
- prévenir la formation de cholestérol,
- aider à la régénération musculaire après l’effort (chez les sportifs),
- éviter ou atténuer les varices,
- renforcer les cheveux (empêcher leur chute), les ongles et les dents,
- atténuer les rides et favoriser l’élasticité de la peau,
- se donner un coup de fouet…
Comme il agit sur tout le processus inflammatoire, ponctuellement, il est très utile pour faire face aux affections suivantes :
- les douleurs articulaires et rhumatismales (toutes les formes),
- les tendinites, les entorses,
- les douleurs musculaires, les crampes,
- l’hépatite toxique, en détoxifiant le foie d’un bon nombre de ses toxines, y compris les métaux lourds,
- l’accumulation d’aluminium qui perturbe le fonctionnement du cerveau, et empêche l’organisme de l’éliminer,
- les contusions, les hématomes, les brûlures (appliqué tout de suite), les coups de soleil, les piqûres de méduses, de moustiques (il agit au bout de quelques minutes),
- le psoriasis, l’eczéma, l’acné (il favorise le renouvellement cutané),
- les démangeaisons,
- le rhume, la sinusite,
- la cicatrisation des plaies et des fractures.
L’action efficace et étendue du silicium organique en fait un complément indispensable pour toute la famille, qu’il est bon d’avoir toujours sous la main. Tout le monde y trouve son compte : l’enfant car il favorise sa construction, la personne âgée car il lui permet de gérer les symptômes du vieillissement, la personne qui souffre de maux inflammatoires car il l’aide à soulager sa douleur, les sportifs de haut niveau car il favorise leur prise de masse musculaire, la femme car il atténue la formation des rides, des vergetures, de la peau d’orange…
Aujourd’hui, dans le monde entier, de plus en plus d’études scientifiques s’intéressent à ce remède naturel millénaire pour ses propriétés médicinales exceptionnelles, et en particulier à son composant le plus actif, la thymoquinone.
Le nom du genre Nigella vient du latin nigellus qui est le diminutif de niger qui signifie « noir » et vient de la couleur de ses graines. Elle est rarement cultivée en Europe, seulement dans quelques champs du Midi de la France et du sud du continent, mais elle pousse parfois dans les jardins.
C’est une annuelle qui croît de 30 à 60 cm, à la tige velue, aux feuilles vertes brillantes, aux fleurs bleu clair ou blanches veinées de vert. Ses fruits se développent entre avril et juin, et sont récoltés avant leur maturité complète pour que leurs graines soient encore à l’intérieur de leur capsule. C’est de ces graines dures et noires, composées de lipides, de glucides, de protides, d’acides aminés, d’éléments minéraux et de vitamines, qu’on extrait l’huile thérapeutique de Nigella sativa.
La valeur de cette huile dépend de la qualité des graines qui dépend elle-même de leurs conditions de culture liée au sol, au climat, à la maturité des graines, à leur mode de récolte, à leur sélection, à leurs conditions d’extraction, puis de conditionnement et de conservation.
La thymoquinone est le composant bioactif de l’huile volatile de la graine noire de Nigella sativa, Elle est présente dans la nigelle sous une forme cristalline triclinique. C’est son actif le plus puissant, qui est étudié depuis 1975 et auquel on a découvert de très nombreuses propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires (elle renforce le système immunitaire), neuroprotectrices, antihépatotoxiques, antidiabétiques (elle diminue les concentrations de cholestérol et de triglycérides, et elle augmente les lipoprotéines de haute densité, la sécrétion d’insuline induite par le glucose et la sensibilité à l’insuline), antidouleur, antiprolifératives, immunomodulatrices et antibactériennes.
Des études menées sur la thymoquinone, en Égypte et en Iran en 2000 et en 2005, font état de ses propriétés anti-inflammatoires et antimicrobiennes, ainsi que de sa capacité à renforcer les défenses immunitaires, à atténuer la rhinite allergique, et même à réduire la sévérité des crises d’asthme.
Un article de 2018 rédigé par des pharmaco-toxicologues et traitant de médecine alternative met en avant d’autres propriétés, comme son activité antioxydante, et son effet de réduction du diabète (entre 1 et 3 g/jour) et du cholestérol après trois mois de prises. Il constate aussi des effets analgésiques, d’autres sur l’hypertension, la dépression, l’anxiété, l’épilepsie, la dépendance aux opioïdes… mais également sur l’infertilité (protection du tissu ovarien et action sur la toxicité testiculaire). Il agit aussi en tant qu’antiparasitaire, antifongique, antimicrobien, antiviral…
L’étude des chercheurs Yimer, Tuem et alii déposée en 2019 à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis, un des Instituts américains de la santé (le NCBI), publie ce résumé : « La graine de Nigella sativa (N. sativa) est utilisée depuis des siècles dans différentes civilisations du monde pour traiter diverses affections animales et humaines. Jusqu’à présent, de nombreuses études ont démontré que la graine de Nigella sativa et son principal constituant actif, la thymoquinone, sont médicalement très efficaces contre diverses maladies, y compris différentes maladies chroniques : maladies neurologiques et mentales, troubles cardiovasculaires, cancer, diabète, conditions inflammatoires et infertilité, ainsi que diverses maladies infectieuses dues à des infections bactériennes, fongiques, parasitaires et virales. Malgré le nombre limité d’études menées jusqu’à présent, l’efficacité prometteuse de N. sativa contre le VIH/SIDA peut être explorée comme une option alternative pour le traitement de cette maladie pandémique après avoir prouvé sa pleine efficacité thérapeutique. En outre, la forte propriété antioxydante de cette graine précieuse a récemment fait l'objet d'une attention croissante en ce qui concerne son rôle potentiel en tant que complément alimentaire avec des effets secondaires minimes. En outre, lorsqu'elle est combinée à différents agents chimiothérapeutiques conventionnels, elle crée une synergie de leurs effets, ce qui permet de réduire le dosage des médicaments utilisés, de manière concomitante avec une efficacité optimisée et une toxicité minimale et/ou nulle. »
En France, une thèse soutenue en 2015 par le Docteur en pharmacie Badr-Eddine Abdesselam confirme l’effet anti-inflammatoire de Nigella sativa via l’action de la thymoquinone sur les médiateurs cellulaires, avec des résultats antalgiques et antipyrétiques, une action antirhumatismale, des propriétés anti-ostéoporotiques, un effet sur le système digestif et l’obésité, un traitement de la pharyngo-amygdalite aiguë (étude clinique), une action sur le système respiratoire (protection du tissu pulmonaire, propriétés antiasthmatiques…), la régulation de l’expression des gènes codants…
Une étude récente de trois chercheurs marocains (Laboratoire de pharmacologie et de toxicologie cliniques de la Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca), qui nécessite encore une évaluation, a montré le potentiel inhibiteur de la thymoquinone sur la protéase, une particule virale indispensable à la réplication du Sars-CoV-2.
Les graines de Nigella sativa contiennent une riche alliance d’une huile fixe et d’une huile essentielle dont le principe actif majeur est la molécule thymoquinone, leur principal composé terpénique.
L’extrait sec d’huile de nigelle utilisé dans le complément alimentaire Nuclei Quantum contient un titrage exceptionnel de thymoquinone à 5 %, impossible à obtenir par pression à froid. Cette technique d’extraction en fait un complément alimentaire très actif et efficace.
De plus, les différents paramètres issus des études menées sur Nigella sativa indiquent qu’elle n’est pas toxique, comme peuvent en témoigner les valeurs de la dose létale médiane (DL50), de la stabilité des enzymes hépatiques, de l’intégrité des organes. La marge thérapeutique de la thymoquinone est donc large, son risque allergique faible, et son usage aux doses prescrites est sans contre-indication.
La nigelle, qui a accompagné nos ancêtres au fil des générations, et son premier principe actif retrouvé dans l’huile volatile de N. sativa, la thymoquinone, sont donc étudiés avec attention par les scientifiques, ce qui a permis de leur attribuer, en plus de leurs vertus reconnues depuis l’Antiquité, de nouvelles propriétés thérapeutiques dont les plus importants sont l’hépatoprotection, l’effet anti-inflammatoire et, en général, la lutte contre le vieillissement. Ces découvertes confirment leur grand intérêt en tant que compléments alimentaires.
Les zéolithes (elles sont très nombreuses dans la nature) sont composées de minuscules cristaux extrêmement poreux, dont la structure caractéristique est très appréciée dans le monde de l’industrie, mais aussi, et de plus en plus, dans celui de la santé. Elles font d’ailleurs l’objet de nombreuses recherches. Elles existent sous une forme naturelle et sous une forme synthétique, avec des usages différents.
Elles ont été découvertes en 1756 et considérées comme une nouvelle classe de minéraux. À cause de leur capacité à gonfler sous l’effet de la chaleur, on les a baptisées zéolithes, du grec zeo « bouillir » et lithos « pierre »… la pierre qui bout. Ces minéraux appartiennent au groupe des silicates.
Au fur et à mesure des années, entre autres découvertes, on a observé que les cristaux de zéolithes pouvaient être déshydratés d’une façon réversible, sans aucune modification apparente de leur morphologie ni de leur transparence. On a aussi découvert que l’échange d’ions dans le cristal était réversible. De ces propriétés, et de bien d’autres, ont découlé une multitude d’applications.
En France, il existe des gisements de zéolithe dans le Massif central et une usine de production à Honfleur.
Ce sont des cristaux microscopiques principalement composés de silicium et d’aluminium, dont la caractéristique majeure est leur grande porosité. Ils sont constitués de cavités et de pores dont la forme leur permet de reconnaître des espèces qui n’ont qu’un dixième de nanomètre de différence au niveau moléculaire, et d’autoriser ou de refuser leur passage.
On appelle d’ailleurs les zéolithes « tamis moléculaires ». Leurs espaces vides sont occupés par des cations et des molécules d’eau qui sont mobiles au sein de leur structure, et qui permettent non seulement des permutations d’ions mais aussi la possibilité d’échanger les molécules d’eau par d’autres molécules.
La composition chimique des zéolithes est proche de celle des argiles, ce qui explique en partie leur intérêt dans les domaines de la santé. La différence entre les deux s’établit sur le plan cristallographique : les argiles ont une structure feuilletée ou fibreuse, tandis que les zéolites ont une structure tridimensionnelle, ce qui représente un autre avantage par rapport aux argiles.
• son squelette en trois dimensions où l’aluminium et le silicium peuvent être remplacés par un autre élément et dont la structure d’ensemble est constituée par la répétition de « cages » interconnectées de tailles variées,
• des cations qui assurent la neutralité électrique de l’ensemble,
• de l’eau qui occupe les vides du squelette.
Elles se forment en plusieurs centaines ou milliers d’années dans les lieux où les roches et les cendres volcaniques réagissent avec des eaux alcalines souterraines, ou bien dans les couches de dépôts organiques. Elles sont très rarement pures (le plus souvent contaminées par d’autres minéraux métalliques, du quartz ou d’autres zéolithes, ce qui les rend impropres à beaucoup d’applications industrielles.
Les zéolithes naturelles comptent 8 familles. En tout, plus de 50 types différents.
Deux cents ans après leur découverte par Cronstedt en 1756, le monde scientifique pensait que les zéolithes naturelles (minérales) étaient des constituants mineurs des roches basaltiques et volcaniques. On le leur avait trouvé aucune application particulière. Mais à la fin des années 1950, on a découvert et étudié d’importants gisements de zéolithes naturelles dans des dépôts sédimentaires des États-Unis. On a donc commencé à les exploiter et à les commercialiser en tant qu’adsorbants (surfaces solides sur lesquelles peuvent se fixer des atomes, des ions ou des molécules en phase gazeuse, liquide ou solide).
Les domaines industriels où elles ont le plus de succès sont les opérations de séparation, de déshydratation et de purification de l’air, dans l’industrie papetière, les ciments et les bétons et, surtout, dans la fertilisation des sols.
Du côté de la biomédecine, leurs applications sont nombreuses. Par exemple, la cicatrisation des plaies, la délivrance d’agents antibactériens, l’enrichissement de l’air en oxygène pour les patients déficients pulmonaires, la détoxification, etc.
Vers 1945, on commence à étudier la synthèse des zéolithes pour produire des types très purs et de structure uniforme. Pour y arriver, on n’a besoin que de silice et d’alumine qui sont très abondants dans la nature. D’autres types peuvent donc être créés pratiquement à la demande.
Les zéolithes synthétiques présentent l’avantage d’être très pures et de structure uniforme. Aujourd’hui, il existe plus de 150 types utilisés dans l’industrie, en tant qu’échangeurs d’ions, tamis moléculaire, catalyseurs, séparateurs des gaz…
Ces zéolithes ont de nombreuses applications. Par exemple, pour de nouvelles techniques de séparation et de purification de l’air ainsi que, grâce à la catalyse, pour la production d’essence et la séparation des liquides et des gaz, comme pour purifier du méthane ou extraire du CO2. Les zéolithes de type Y servent ainsi de catalyseurs pour le « craquage catalytique », qui sert à briser les longues molécules d’hydrocarbures pour obtenir des produits organiques intéressants, comme l’essence des voitures.
Les propriétés d’échange d’ions des zéolithes leur permettent de piéger les métaux indésirables et de les empêcher de pénétrer dans les écosystèmes et la chaîne alimentaire. Des études rapportent que les zéolithes pulvérisées, en particulier la clinoptilolite, réduisent le transfert de métaux lourds, tels que le cuivre, le plomb et le zinc, des sols aux plantes. Elles sont également utilisées comme échangeurs d’ions pour adoucir l’eau.
On les utilise aussi dans la fabrication des lessives et des détergents pour remplacer les phosphates qui sont trop polluants.
Et en tant que thermorégulateurs, ce sont des collecteurs efficaces pour le stockage de l’énergie solaire, entre autres.
Dans le domaine du bien-être et de la santé, les zéolithes les plus utilisées sont d’abord la clinoptilolite (la plus courante), puis la mordénite et la chabazite.
La zéolithe utilisée comme complément alimentaire peut être modifiée, par exemple : hydratée, micronisée ou subir une activation tribomécanique (la zéolithe activée) qui permet d’obtenir de minuscules particules (0,5 micron) extrêmement bien absorbées par l’organisme. Ces transformations augmentent les surfaces d’échange avec l’environnement et donc elles optimisent les propriétés et les bienfaits de la zéolithe.
Sa structure poreuse, qui agit comme un tamis moléculaire, lui permet d’absorber puis de retenir des molécules de tailles diverses. Elle est donc capable de piéger dans l’organisme une vraie diversité de micro-organismes et de microparticules nocives.
La zéolithe activée est en particulier reconnue pour sa capacité à fixer les métaux lourds, donc à détoxiner l’organisme. Ce mécanisme de détoxification des métaux lourds, en particulier le plomb, le mercure, l’arsenic et le cadmium, permet à la zéolithe d’améliorer, entre autres, l’état psychique et les performances cognitives (facilité de concentration) chez les enfants hyperactifs.
Des études ont été faites pour confirmer la sécurité d’utilisation de la zéolithe qu’on emploie pour se détoxifier des métaux lourds ingérés dans les aliments et l’eau, ou bien respirés. Les résultats varient selon le mode d’administration – spray, gouttes, prise orale de poudre – mais quels qu’ils soient, aucune de ces études n’a détecté d’interférence préjudiciable entre la zéolithe et les métaux utilisés dans le corps : implants dentaires, broches, vis, plaques ou clous…
Bien qu’aucune étude spécifique sur ce sujet n’ait été réalisée, on peut en déduire que la zéolithe n’interfère pas sur eux, au moins à court et moyen terme.
En revanche, il est probable que la zéolite débarrasse l’organisme des particules métalliques relarguées au fil du temps dans le sang et la lymphe par ces appareillages.
Des études démontrent la réduction des radicaux libres chez les personnes prenant de la zéolithe activée. C’est un effet bienvenu dans un monde où la présence accrue de composés toxiques et de métaux lourds dans l’environnement, les aliments et les produits d’usage quotidien favorise leur surproduction par l’organisme.
Dans une étude menée sur 41 personnes, cette activité de la zéolithe contre les radicaux libres s’est également montrée un excellent facteur d’amélioration de leur profil lipidique, qui a permis d’observer dans leurs analyses une diminution de leur mauvais cholestérol et de leur cholestérol total.
L’action des radicaux libres dans l’organisme aggrave le stress oxydatif qui provoque des dommages au sein des cellules pouvant entraîner des maladies dégénératives comme l’obésité, le diabète, l’athérosclérose, des maladies neurologiques, des cancers et un vieillissement des cellules. Or, chez l’animal la zéolithe a un effet reconnu : elle permet d’enrayer le stress oxydatif (cet effet n’a pas encore été expérimenté sur l’homme).
Une des premières études réalisées sur l’homme a mis en évidence son activité immunostimulante. Après 6 à 8 semaines de supplémentation en zéolithe, les auteurs ont enregistré chez les sujets une augmentation de leurs lymphocytes (globules blancs), les acteurs principaux du système immunitaire.
La zéolithe permet également de contrôler l’inflammation, par exemple dans les intestins qui, en cas de stress ou d’une agression (microbes, toxiques, intolérance alimentaire…) développent des réactions inflammatoires. Elle agit alors en améliorant la perméabilité intestinale. Elle corrige aussi la flore bactérienne intestinale.
Une autre étude clinique chez des patients souffrant d’un reflux gastro-œsophagien ou d’une gastrite engendrés par la prise d’anti-inflammatoires a enregistré une nette amélioration dans plus de la moitié des cas, grâce à l’aptitude de la zéolithe à capter les ions acides.
L’efficacité d’une cure de zéolithe est également reconnue en tant que détoxifiant contre l’excès d’urée provoqué par une alimentation trop riche en protéines, qui crée une grande quantité de dérivés ammoniaqués chargeant le foie et intoxiquant l’organisme. Cela peut être le cas, par exemple, chez les sportifs.
On a aussi constaté chez la majorité des personnes prenant de la zéolithe activée en complément d’un traitement médical une amélioration rapide de leur vitalité, leur état général et leur appétit.
Les résultats obtenus chez les patients subissant une chimiothérapie ou une radiothérapie montrent que leur traitement est mieux supporté grâce à la prise de zéolithe, permettant d’améliorer leur état de santé général, et d’augmenter leur durée et leur qualité de vie.
La zéolithe est également active pour combattre les virus en application locale (herpès) ou bien orale (adénovirus, entérovirus).
Dans la plupart des cas de diabète qui ont été étudiés, une stabilisation et une diminution nettes de la quantité de sucre dans le sang ont été observées.
Au niveau de la peau, la zéolithe a la propriété de détoxifier et d’activer l’élastine, et de favoriser la synthèse du collagène. Elle est recommandée pour soigner les brûlures et les plaies légères, pour agir contre l’alopécie, pour lutter contre le vieillissement de l’épiderme et pour éliminer totalement et rapidement de nombreuses infections de la peau (entre autres le Candida).
Une supplémentation en zéolithe permet donc d’améliorer le bien-être général et la santé, en agissant aussi bien au niveau de la santé physique dans de nombreux domaines qu’on n’a pas fini d’explorer, qu’à celui des performances cognitives.
Aujourd’hui, dans le domaine de la santé, la zéolithe clinoptilolithe est un dispositif médical agréé en France et dans de nombreux pays.
La Zéolithe clinoptilolite surfine (environ 5 microns) d’Apoticaria, extraite dans les Balkans, a une capacité d’absorption étonnante et une grande disposition aux échanges ioniques. C’est la variété dont les propriétés thérapeutiques sont les meilleures.
Des analyses toxicologiques in vitro et in vivo ont établi l’absence totale d’effets secondaires sur l’organisme de la zéolite activée par micronisation tribomécanique, à court, moyen et long terme. Elle est néanmoins contre-indiquée chez les femmes enceintes et allaitantes.
Au vu de ses capacités d’absorption, il est important de prendre la zéolithe à distance des repas et de tout médicament. Et il est recommandé de bien s’hydrater au long de la journée.
Après-guerre, le clinicien russe Alexander Salmanoff, spécialiste de la capillothérapie, a mis au point des bains thérapeutiques utilisant l’oléorésine du mélèze de Sibérie, riche en DHQ. Aujourd’hui, de nombreuses études ont été menées en Russie, dont les résultats ont mis en évidence les effets très bénéfiques des flavonoïdes, et en particulier de la DHQ, sur le système sanguin et capillaire, mais aussi sur le cerveau, le cœur et les poumons.
La DHQ est la molécule active de la térébenthine, l’oléorésine extraite des résineux. Elle se distingue de la quercétine, un autre flavonoïde, par sa composition chimique. La DHQ a en effet deux atomes d’hydrogène supplémentaires par molécule, ce qui en fait, disent les études cliniques, un antioxydant plus puissant.
La DHQ spécifique issue du mélèze sibérien est différente des dérivés des autres espèces de mélèzes. C’est un antioxydant hautement absorbable et puissant, beaucoup plus que les autres flavonoïdes, qui a une libération lente, qui est capable de circuler dans tout l’organisme pendant 24 heures et dont la spécificité est de renforcer les capillaires. Elle augmente donc la capacité d’adaptation de tous les systèmes du corps humain.
Au niveau du cerveau, elle normalise la circulation, ce qui réduit le risque de troubles fonctionnels. Elle améliore la mémoire et l’attention. Elle stimule les performances mentales. Elle favorise la récupération après un accident vasculaire cérébral.
Au niveau du cœur, elle améliore le fonctionnement du système cardiovasculaire. Elle stimule l’endurance du muscle myocarde.
Au niveau du système circulatoire, elle stimule le flux sanguin dans tout l’organisme, elle renforce les parois des vaisseaux et réduit la perméabilité des capillaires en diminuant le nombre et la taille des pores de leurs parois. Elle améliore l’écoulement du sang. Elle réduit la congestion du système veineux. Elle lutte contre l’athérosclérose et l’insuffisance veineuse.
Au niveau des poumons, elle favorise le travail des alvéoles pulmonaires. Elle élimine les dépôts de tabac. Elle améliore la perméabilité des bronches. Elle diminue leur gonflement. Elle facilite l’expectoration des crachats.
De plus, en synergie avec la vitamine C, elle devient un des anti-inflammatoires naturels les plus efficaces.
Les très nombreuses études menées en Russie ont démontré que la DHQ était très efficace, entre autres, pour ralentir le processus du vieillissement et donc atténuer les effets de l’âge. Ces études ont notamment démontré que la DHQ est un puissant antioxydant dont l’activité est supérieure à celle de la vitamine E ou des caroténoïdes.
La médecine d’aujourd’hui fait peu de place aux capillaires qui pourtant représentent la partie du système cardiovasculaire où s’exécutent les processus les plus essentiels de la circulation et du métabolisme. C’est en effet par le réseau capillaire que l’oxygène et les nutriments arrivent à toutes les cellules de l’organisme, et que leurs déchets sont éliminés. Ce réseau irrigue l’organisme tout entier et contient 80 % de la masse sanguine. La progression du sang dans les 100 000 km de capillaires ne se fait pas grâce au cœur, comme celle du système veineux et artériel. Elle est commandée par un mécanisme péristaltique dirigé par le système nerveux parasympathique (comme l’intestin). Tant que ce système est efficace, le corps garde sa jeunesse, et la DHQ peut y veiller.
Elle agit aussi positivement pour diminuer la viscosité du sang, pour améliorer la microcirculation au niveau des capillaires qui se dégrade beaucoup avec l’âge, pour protéger le cerveau et les cellules nerveuses, pour combattre la fragilité du système immunitaire due à l’âge et mobiliser les défenses de l’organisme, pour favoriser la régénération des cellules, pour renforcer les parois des vaisseaux sanguins, pour freiner l’oxydation des lipides qui entrent dans la composition de la membrane des cellules et prévenir le vieillissement prématuré de celles-ci.
De plus, ces études démontrent que la DHQ empêche les globules blancs inflammatoires d’attaquer des régions du cerveau fragilisées par l’âge et d’y adhérer en formant des lésions oxydatives, car elle les protège du manque de sang et d’oxygène.
On peut anticiper ou confirmer un dysfonctionnement du réseau des capillaires grâce à certains signaux d’alerte, et y remédier grâce à la DHQ, lorsque plusieurs des signes suivants se manifestent :
Ces signes sont particulièrement alarmants lorsqu’ils se manifestent chez les personnes présentant des pathologies particulières.
Il existe de nombreux végétaux qui sont de bons apports de flavonoïdes s’ils sont consommés au quotidien, comme les fruits frais, les légumes crus et cuits, les jus de fruits et de légumes fraîchement extraits à l’extracteur de jus, le thé vert et le thé matcha, le chocolat noir (au moins à 70 % de cacao), etc., tous de qualité biologique. Mais dans la mesure où les aliments sont de plus en plus pauvres en nutriments, les compléments alimentaires contenant de la DHQ sont de plus en plus utiles.
Le Dr Alexander Salmanoff, éminent médecin russe, a établi que la vitesse du vieillissement est en rapport direct avec l’assèchement du réseau capillaire qui permet l’alimentation, le nettoyage et l’entretien des cellules. Il a étudié ce phénomène et, pour le contrer, a inventé des bains chauds à la DHQ, la molécule active de la térébenthine de mélèze sibérien, qui réveillent par la voie physiologique le réseau des capillaires en stase ou en obstruction partielle ou totale.
Il existe aussi un baume à la DHQ sibérienne à appliquer sur la peau et qui agit de la même façon. Il a un effet analgésique local immédiat, et même anesthésique, ainsi qu’un effet anti-inflammatoire.
Un autre complément alimentaire très actif, le Neurophyt, protège et entretien la bonne vascularisation capillaire du cerveau (qui à lui seul fait 100 km de longueur), prévenant en particulier la dégénérescence du système nerveux neurologique qui nourrit les millions de neurones du tissu cérébral. Il est aussi très efficace pour stimuler la circulation en général, et en particulier le système cardiovasculaire. Il a donc une action bénéfique sur l’organisme tout entier. Il agit comme un agent réparateur jusqu’au niveau cellulaire.
Voici comment Alexander Salmanoff justifie l’usage de la DHQ : « La question n’est pas de trouver un traitement pour une maladie bien définie mais de restaurer le corps endommagé du patient, indépendamment du diagnostic. La raison de ces anomalies fonctionnelles réside surtout dans les capillaires. Les traitements actuels négligent l’importance du travail des capillaires où 80 % du sang circule pour approvisionner, dans la profondeur, les organes et les tissus. La conservation et le bon fonctionnement des capillaires doivent être la base de la médecine future. »
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Le corps a besoin d’un gardien qui le préserve des agressions internes et externes. Le glutathion, une protéine que l’on trouve dans toutes les cellules du corps humain et surtout dans le foie, protège activement et efficacement tous les éléments du système de défense naturel de notre corps. Il agit en synergie avec la vitamine C pour intervenir contre les dégâts cellulaires entraînés par les processus métaboliques qui nécessitent de l’oxygène et qui créent les composés toxiques appelés radicaux libres. Il aide ainsi à résister aux maladies en neutralisant les radicaux libres internes et externes.
L’organisme produit son propre glutathion, mais les niveaux peuvent en être amoindris par une mauvaise alimentation, la pollution, le stress et le vieillissement. Une prise régulière de ce complément alimentaire permet de combler cette carence et présente de nombreux avantages.
Le glutathion est un tripeptide antioxydant qui agit dans l’organisme pour protéger les cellules du stress oxydatif et pour soutenir le système immunitaire. Il est naturellement produit dans le foie, responsable de l’élimination des substances toxiques, mais aussi dans les reins, le pancréas, le cerveau… et il agit en synergie avec d’autres antioxydants tels que la vitamine C.
Le glutathion ne se contente pas de neutraliser les radicaux libres par lui-même, il a aussi la capacité de réactiver d’autres antioxydants, comme les vitamines C et E. En effet, après que les antioxydants (en particulier ces vitamines) ont neutralisé les radicaux libres, ils deviennent eux-mêmes des molécules instables. Le glutathion aide alors à recycler ces molécules, à les réactiver et les remettre en service, en augmentant leur capacité à éliminer et à neutraliser les radicaux libres et certains polluants.
Le glutathion existe sous deux formes dans l’organisme humain, la forme réduite (le bon glutathion) et la forme oxydée (le mauvais glutathion). Le glutathion est produit par nos cellules, mais on le trouve aussi dans les fruits, des légumes comme le brocoli et dans les champignons, ainsi que dans les poissons et les viandes. Malheureusement, sa production décroît avec l’âge et comprend une part de glutathion oxydé de plus en plus importante par rapport au glutathion réduit.
Dans l’organisme, il est l’antioxydant le plus essentiel. Il agit en fournissant des électrons qui combattent les radicaux libres, agresseurs des cellules et agents de leur vieillissement. Il représente donc un élément important dans le maintien et l’amélioration de l’état de santé général, et dans la résistance face à certains éléments agresseurs.
Mais il a de nombreux autres rôles au sein du corps, qui sont directement liés à ses propriétés antioxydantes :
Les chercheurs ont découvert que ces deux composants naturels agissent en synergie, chacun régénérant et recyclant l’autre. Voici les bénéfices que l’on peut obtenir en prenant ensemble ces deux substances.
Le glutathion, un des antioxydants les plus puissants du corps, est également un détoxifiant très efficace qui neutralise les agents pathogènes ainsi que les toxines de l’environnement. De plus, il stimule le système immunitaire, augmente la force et l’endurance, et permet à l’organisme de produire du tissu musculaire plutôt que graisseux.
En fait, le glutathion est si impliqué dans la santé et le bien-être qu’on peut prédire la longévité en mesurant son taux dans le corps.
En revanche, ce taux peut être amoindri par certains médicaments toxiques, les toxines présentes dans l’environnement, le stress chronique et le vieillissement. Les personnes jeunes et en bonne santé présentent donc un taux plus élevé de glutathion que les personnes âgées. Les taux les plus bas se rencontrant chez les patients hospitalisés.
Comme le glutathion, la vitamine C est un stimulant de l’immunité. Les études ont montré qu’elle augmentait la production des anticorps protecteurs et favorisait le travail des cellules phagocytes qui digèrent les particules étrangères à l’organisme.
De plus, la vitamine C, qui a une puissante action antioxydante, antivirale et anti-inflammatoire, protège les membranes cellulaires fragiles, prévenant les dommages causés à l’ADN des cellules, ainsi qu’aux protéines et aux enzymes importantes (dont le glutathion). Elle joue aussi un rôle dans la production du collagène, un élément essentiel de la protection du cœur et des artères.
Donc, des réserves insuffisantes de glutathion et de vitamine C peuvent avoir des incidences graves sur la santé, d’autant qu’ils sont encore plus efficaces en synergie. En effet, ensemble, ces deux antioxydants neutralisent les radicaux libres les plus nocifs. C’est d’autant plus important que les radicaux libres provoquent la détérioration des lipides des membranes cellulaires (peroxydation), qui met les cellules en danger et accroît le risque de maladie, ce qui peut entraîner la mort des cellules et une probabilité accrue de maladie.
Le glutathion, qui neutralise les radicaux libres tout en recyclant les autres antioxydants, se sacrifie au passage, mais ce processus se termine par sa régénération en plus grande quantité. En d’autres termes, le glutathion et la vitamine C associés fonctionnent comme des équipiers qui se protègent l’un l’autre : la vitamine C contribue à protéger le glutathion dans les tissus, tandis que le glutathion régénère la vitamine C usée (acide déhydroascorbique) dans sa forme active.
Le glutathion existe dans notre organisme sous deux formes qui s’équilibrent : une forme oxydée (GSSG) et une forme réduite (GSH).
Les trois éléments constitutifs du glutathion réduit sont les acides aminés glutamine, cystéine et glycine qui lui permettent non seulement de protéger les cellules, mais aussi de les nourrir directement. Par exemple, diverses études montrent que la glutamine et la glycine sont le carburant préféré des cellules de la muqueuse intestinale, et confirment la remarquable capacité du glutathion et de ses composants à lutter contre le syndrome de l’intestin perméable.
La forme réduite de la molécule est donc plus active que la forme oxydée. En effet, pour qu’une cellule soit en bonne santé, la quantité de glutathion réduit doit y être plus importante que sa forme oxydée. Dans le cas contraire, son effet peut devenir néfaste pour le corps. C’est d’ailleurs un des marqueurs du stress oxydatif, c’est-à-dire de l’agression de l’organisme par les radicaux libres.
Il lutte contre le vieillissement prématuré et les effets de l’âge : le vieillissement s’accompagne en effet d’une importante diminution du niveau de glutathion dans l’organisme. Or, l’affaiblissement de ce niveau entraîne un ensemble de troubles et de problèmes, par exemple : d’importantes pertes de mémoire, des tremblements, une mauvaise coordination… Le glutathion est, de plus, un complément alimentaire actif dans le cadre des maladies neurodégénératives.
Il permet de se protéger des toxiques dangereux : il optimise le système des défenses naturelles et favorise l’élimination des divers polluants alimentaires et environnementaux dont l’accumulation entraîne de lourds problèmes de santé.
Il empêche la formation de dépôts graisseux : en empêchant l’oxydation du cholestérol, il freine la formation des différents dépôts graisseux qui peuvent encombrer l’organisme avec, dans certains cas, des conséquences catastrophiques.
Il potentialise l’utilisation et l’élimination des sucres : il améliore les processus liés à l’absorption et à la digestion des sucres, un atout précieux en cas de diabète. Il protège également l’organisme des personnes ayant d’importants problèmes liés au sucre contre les complications de ceux-ci à long terme (comme la diminution de la vision, les infections, les problèmes circulatoires, cardiaques et rénaux).
Il préserve un système digestif sain : il protège de l’inflammation en cas de gastrite, d’ulcères gastro-duodénaux et de pancréatite. Il agit donc également comme un élément protecteur en cas de maladie de Crohn.
Il entretient le système respiratoire : il facilite le dégagement des encombrements et une meilleure respiration. Ses précurseurs sont recommandés pour stimuler la circulation de l’air et la respiration, par conséquent l’oxygénation des tissus.
Il sécurise la grossesse : il participe à désintoxiquer le placenta des polluants avant qu’ils puissent atteindre le fœtus. Il permet donc d’éviter certaines complications.
Il agit sur la peau : il élimine l’excès de pigments dans la peau, il contrôle l’acné et atténue ses marques, il resserre les pores, il rend la peau plus brillante, claire et lisse, il ralentit son processus de vieillissement.
La forme liposomale du glutathion permet d’améliorer encore son absorption et son utilisation par l’organisme.
Les liposomes sont des vésicules qui sont formées de deux couches de phospholipides. Au centre de chaque vésicule existe un compartiment aqueux. Le produit encapsulé au cœur de cette enveloppe liposomale peut, d’une part, résister aux attaques acides et, d’autre part, être transporté facilement et sans aucune altération jusqu’aux cellules qui en ont besoin. En effet, la membrane cellulaire est surtout constituée de phospholipides (acides gras), or, les acides gras s’attirant mutuellement, la capsule d’acide gras est captée par la membrane cellulaire et pénètre ainsi très facilement au sein de la cellule.
L’efficacité du glutathion liposomal réside donc dans la capacité du produit actif, protégé par la microsphère de liposomes, à n’en sortir qu’au contact avec la membrane de la cellule où le produit actif est directement et intégralement transféré.
Nous proposons le glutathion Setria (enregistré et breveté), un complément alimentaire dont la matière première est un glutathion réduit, haut de gamme, sous une forme particulière : il est associé à un tripeptide qui optimise son degré d’absorption.
Sa forme liposomale qui évite la destruction de la substance active par les radicaux libres, les enzymes, les sucs digestifs, les sels biliaires ainsi que par les aliments eux-mêmes, optimise son absorption, donc son efficacité.
Sa formulation vegan ne contient pas d’OGM, de blé, de gluten, de levure, de produits laitiers, de produits carnés, d’hexane, de protéines de soja, de sucre, d’arômes ni de colorants artificiels.
Le MSM soufre organique est sans odeur particulière et a un goût légèrement amer. Le MSM que nous proposons est issu du tronc du pin maritime de Louisiane.
Entièrement naturel, il peut être directement absorbé par l'organisme pour une action rapide. Le MSM agit au niveau physiologique sur :
La douleur constitue la réponse « signal d'alarme » à un traumatisme reçu par le corps. Le signal est transmis par une série de fibres nerveuses contenue dans des gaines de myéline, par exemple en cas de brûlure. Une autre famille de fibres nerveuses, dépourvue de myéline, s'occupe de la réaction post-traumatique pour pallier au problème : elles vont stimuler le flux sanguin localement, augmenter la rougeur et constituer la réaction inflammatoire. Ces dernières concerneront plutôt l'arthrite par exemple, si on parle de maladie chronique.
Les observations cliniques effectuées par le Dr Stanley Jacob font état de l'efficacité du soufre organique MSM concernant la douleur par :
Dès les premières prises de MSM on ressent une détente au niveau du foie et du gros intestin, deux organes majeurs de filtration et d'excrétion au niveau de l'organisme. Dans le foie, le soufre organique va fortement aider à évacuer le tabac, l'alcool, les médicaments ainsi que toutes les pollutions environnementales. Toutes ces toxines seront dirigées vers les urines pour évacuation par les mictions. La stagnation de toxines dans le corps peut compromettre la santé et même favoriser la dégénérescence cellulaire.
De même que le corps peut être affaibli par le manque de fer ou de magnésium, il peut également être affaibli par le manque de soufre. Et depuis l'introduction des engrais chimiques dans l'agriculture moderne, le soufre n'est pratiquement plus présent dans notre assiette. L'action du MSM sur le système immunitaire en fait un remarquable allié dans la lutte ou la prévention des maladies chroniques. En particulier, le MSM va augmenter la production de glutathion dans l'organisme. Le glutathion, fruit de trois acides aminés et en particulier de la cystéine issue du soufre, représente l'un des anti-oxydants les plus puissants qui soit. Le fait de produire du glutathion va considérablement renforcer la défense immunitaire de l'organisme et le permettre de lutter plus adéquatement contre les maladies chroniques.
Le soufre organique favorise la santé, le bien-être et la vitalité par une production d'énergie au niveau cellulaire et encourage le métabolisme cellulaire.
De nombreux témoignages le confirment : avec le soufre organique l'organisme est plus léger, l'esprit est plus serein, on a davantage de dynamisme et d'énergie pour affronter les difficultés. Les sportifs trouveront également qu'avec le MSM l'exercice peut durer plus longtemps sans générer de douleur.
Le soufre organique a longtemps été considéré comme une source de beauté pour la peau, de santé pour les cheveux et de solidité pour les ongles. Le collagène est un composant essentiel de la peau alors que la kératine va constituer les cheveux et les ongles.
Le soufre est un précurseur essentiel des protéines que sont le collagène et la kératine. Le fait d'absorber de MSM va permettre à la peau de se régénérer (voire de cicatriser) plus rapidement, mais également d'être moins sensible au soleil ou aux affections cutanées (mycoses, champignon, boutons).
L'absorption du soufre organique va également permettre de retrouver une réelle solidité des ongles; enfin, les cheveux seront plus épais, plus denses, plus résistants, et l'apparition des cheveux gris tendra à ralentir.
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Certains ont des conséquences très nocives pour la santé : ils peuvent entraîner plusieurs sortes de cancers, ainsi que des effets neurotoxiques et ils agissent entre autres sur les os, les reins et le cœur.
Et bien sûr, ils n’attaquent pas que les humains, mais aussi les animaux et les plantes dont ils se nourrissent, ce qui accroît la quantité de métaux lourds que l’on retrouve dans l’organisme des adultes et des enfants. Car même si les métaux lourds sont le plus souvent présents à l’état de trace dans l’environnement, ils sont très dangereux car leur toxicité se développe au fur et à mesure qu’ils s’accumulent dans les tissus.
Cette pollution est alarmante, mais il existe des solutions comportementales, alimentaires et thérapeutiques pour résister à cette contamination.
Le terme « métaux lourd » est une désignation industrielle plutôt que scientifique. On l’utilise pour définir les éléments métalliques qui ont une masse volumique supérieure à 5 g/cm3 et dont les composés sont reconnus pour leurs effets toxiques. À l’origine, on ne considérait que trois métaux lourds : le mercure, le plomb et le cadmium. Aujourd’hui, suite aux études menées sur l’impact des métaux sur les êtres vivants et l’environnement, le droit de l’Europe et celui des États membres ont retenu la définition suivante pour distinguer les métaux lourds : « Tout composé d’antimoine, d’arsenic, de cadmium, de chrome hexavalent, de cuivre, de plomb, de mercure, de nickel, de sélénium, de tellure, de thallium et d’étain, ainsi que ces matériaux sous forme métallique, pour autant qu’ils soient classés comme substances dangereuses. »
Il n’est pas facile de se protéger de l’exposition aux métaux lourds car ils sont omniprésents dans l’environnement. Leur présence naturelle à l’état de trace dans les sols varie suivant les caractéristiques géologiques du terrain. Les retombées naturelles, comme celles d’origine volcanique, influencent elles aussi leurs concentrations. Quant à l’activité humaine (domestique, industrielle et agricole), elle fait varier leur concentration dans les poussières qui se déposent sur les sols, ainsi que dans les eaux. Enfin, l’érosion des sols contribue à remettre ces métaux en suspension dans l’air sous-forme de particules ou de gaz.
En dehors des expositions professionnelles et environnementales, la plupart des personnes sont surtout polluées par l’intermédiaire de leur alimentation. En particulier par :
D’une façon générale, la plupart des métaux ont des effets toxiques plus ou moins marqués sur tous les êtres vivants. Début juillet 2021, Santé publique France a publié des données sur l’exposition des adultes et des enfants à 27 métaux différents. Il en ressort qu’aujourd’hui, toute la population en est imprégnée, et régulièrement à des taux supérieurs aux limites recommandées par les autorités de santé.
Ces effets varient selon la forme chimique que les métaux lourds adoptent dans leur environnement. Leur impact dépend de leur concentration, leur biodisponibilité et leur capacité à entrer dans la chaîne alimentaire.
Certains, comme le cadmium, le mercure et le plomb, sont nocifs à très faibles doses. D’autres métaux sont des éléments très utiles pour la santé comme le cuivre, le sélénium et le zinc, mais au-delà d’une certaine concentration, ils deviennent toxiques. On connaît aussi l’effet cancérigène de l’arsenic. Ou l’effet nocif du mercure sur le système immunitaire et le système reproducteur.
Il a des effets cancérogènes probables, des effets mutagènes et des effets toxiques sur la reproduction. Chez la femme enceinte, il augmente les risques d’asthme et d’allergies pour le futur bébé. Il est également toxique pour les reins, le squelette et l’appareil respiratoire.
Il peut provoquer des cancers (surtout des poumons, du nez et des sinus), il a probablement des effets mutagènes, ainsi que des effets toxiques sur la reproduction.
Il peut alors provoquer une irritation du nez, de la bouche et des yeux, et des maux de tête et d’estomac, ainsi que des vertiges, des vomissements et des diarrhées. Il peut aussi entraîner un déclin de l’intelligence chez les jeunes adolescents, une toxicité cellulaire et des lésions de l’ADN. Il se trouve en particulier dans les légumes biologiques et le tabac. Mais aussi dans les maisons qui ont encore des tuyauteries en plomb, où le cuivre peut alors se retrouver dans l’eau à cause de la corrosion des tuyaux.
Il provoque des effets neurotoxiques, cancérogènes (reins) et des effets sur le système nerveux du fœtus et de l’enfant.
Les composés du nickel sont cancérogènes pour l’homme, et le nickel métallique est possiblement cancérigène (nez et sinus). Il provoque des irritations par inhalation (industrie) et des allergies par contact cutané (ustensiles de cuisine, robinetterie, boîtes de conserve, pièces de monnaie…). Il est toxique pour l’ADN.
Les risques pour la santé sont, chez l’enfant, le saturnisme (un retard du développement mental), chez l’adulte un taux de mauvais cholestérol qui progresse en même temps que le taux de plomb augmente dans le sang. À fortes doses, il peut amener des encéphalopathies, des neuropathies, ou même un décès chez l’adulte et l’enfant. Il entraîne également des effets digestifs, comme la colique saturnine, des douleurs abdominales, etc. Il a aussi des effets sur la pression artérielle et la fonction rénale chez l’adulte, ainsi que sur le développement de l’enfant et de son système nerveux central (diminution du quotient intellectuel, troubles de l’attention), même à des faibles doses.
Au quotidien, certaines précautions peuvent atténuer les risques de contamination aux métaux lourds et donc modérer leurs effets nocifs. Par exemple :
Pour ce qui concerne les sources de contamination alimentaires, la prévention est assez difficile, en particulier pour ce qui concerne les produits de la mer (cadmium, arsenic, mercure et chrome) dont les Français sont de gros consommateurs et dont les services de santé vantent les qualités nutritionnelles (entre autres leur richesse en vitamine D et en oméga 3…), recommandant leur consommation deux fois par semaine. Le mieux est de diversifier les espèces et les lieux de pêche, et de réduire les quantités consommées.
Chez les enfants, la principale source de cadmium se trouve dans les céréales du petit-déjeuner qu’il faut donc réduire ou supprimer.
L’eau aussi est concernée (principalement plomb, nickel, cuivre, zinc, chrome, arsenic) à cause des rejets industriels à proximité des cours d’eau, mais aussi de l’érosion des sols. Le traitement de l’eau de boisson est donc utile, entre autres par filtration sur charbon actif, ou par un système d’osmose inverse
La zéolite est une roche cristalline naturelle qui agit comme une véritable éponge chimique. Sa structure constituée de cavités et de canaux en nid d’abeille, qui occupent la moitié de son volume, peut absorber, entre autres, de nombreux types de métaux lourds plus une multitude de composés divers.
Il existe 106 types de zéolite : feuilletée, cristalline ou fibreuse. Une variété possède des propriétés thérapeutiques supérieures, la zéolithe clinoptilolite surfine extraite dans les Balkans. Sous sa forme micronisée (5 microns environ), elle a des propriétés absorbantes et un pouvoir d’échanges ioniques exceptionnels.
Elle est en particulier utilisée comme absorbant des métaux lourds, grâce à sa forte capacité à piéger le plomb, le cadmium, l’arsenic, le mercure et d’autres métaux potentiellement dangereux. Elle élimine également de l’organisme les pesticides, les herbicides et les plastiques.
La zéolite clinoptilolite surfine est un décontaminant idéal et très puissant. Mais à cause de cet exceptionnel pouvoir absorbant, ses prises doivent être décalées d’au moins six heures de celle des autres médicaments.
Sa posologie est de deux cuillères à café dans de l’eau, une fois par jour, loin des repas, et en cure d’au moins trois mois.
Sources
Notre besoin en vitamine C dépend largement de notre style de vie.Le stress oxydatif résulte du tabagisme, d’une mauvaise hygiène de vie, d’un environnement pollué ou d’un stress permanent. Toutes ces situations augmentent notre sensibilité aux radicaux libres et par conséquent notre besoin en vitamine C. Par ailleurs, l’industrialisation de l’agriculture et de la production de denrées alimentaires mène à un appauvrissement de notre alimentation en vitamine C. Les fruits et légumes, principales sources de vitamine C, ne sont plus cueillis à maturité et subissent de longs transports, qui dégradent la qualité des aliments.
Lorsque votre système immunitaire manque de vitamine C, il nous le fait sentir : on souffre plus facilement du rhume ou de la grippe, on se sent souvent fatigué parce qu’on n’arrive plus à assimiler le fer. On peut ressentir des douleurs articulaires et musculaires, observer un retard de cicatrisation des plaies, voire saigner des gencives ou du nez.
L’effet le plus connu de la vitamine C est son effet antioxydant, elle aide à lutter contre les radicaux libres et à éliminer les métaux lourds. Ses propriétés régénératrices sont reconnues : elle participe largement à la production de collagène, substance qui se trouve dans toutes les fibres élastiques du corps telles la peau, les tendons, les ligaments ou les gencives.
Adapter son alimentation, c’est consommer des aliments riches en vitamine C tels l’acérola, les baies de Goji, les agrumes, le poivron, la goyave, le chou ou le kiwi. Faire attention à la qualité des aliments consommés permet aussi de garder leurs vertus. Ainsi, favoriser une agriculture locale et biologique participe à cet effort.
Si toutefois les carences sont telles que l’alimentation ne suffit plus à réguler les besoins, un recours à une supplémentation en vitamine C est souhaitable. La formule la plus adaptée sur le marché actuellement est sans aucun doute la vitamine C liposomale, aussi puissante que les injections sans les inconvénients des piqûres.
Le principe de fabrication de la vitamine C liposomale repose sur l’encapsulation dans une enveloppe de phospholipides. Ces phospholipides peuvent être issus de la lécithine de tournesol ou de la lécithine de soja, toutefois cette dernière est préférable, car plus stable que la précédente. En effet, débarrassée des protéines de soja nuisibles à la santé, la lécithine de soja est riche en phosphatidylcholine, cette membrane cellulaire bénéfique pour notre santé. C’est la stabilité des liposomes qui est ici recherchée, assurant une encapsulation optimale de la vitamine C. Mal encapsulée, la vitamine C liposomale est moins bien assimilée et par conséquent moins efficace.
Un ingrédient de base de la vitamine C liposomale, pourtant absent de la composition d’un grand nombre de produits disponibles sur le marché, est l’éthanol. Il joue en effet un rôle de solvant, et permet aux particules de la vitamine C de bien pénétrer les corps gras. La poudre et l’huile se mélangent de façon homogène.
Une des caractéristiques bien connues de la vitamine C réside dans sa propension à l’oxydation au contact de l’air. Dès lors qu’on ouvre une bouteille, le produit qu’elle contient se trouve en contact avec l’air, et se dégrade automatiquement. Le conditionnement en sachets individuels permet au contraire d’éviter que la vitamine C liposomée entre en contact avec l’oxygène contenu dans l’air. Des qualités sont ainsi conservées au maximum.
Le processus de fabrication de la vitamine C liposomale peut sembler simplissime, si l’on en croit les recettes de fabrication artisanale qui pullulent sur le net. Cependant, au-delà de la question des ingrédients et du conditionnement déjà évoqués, le mode d’homogénéisation du produit est primordial. Chez Apoticaria, nous avons sélectionné des produits pour bénéficier d’une homogénéisation optimale : schématiquement, les ingrédients sont propulsés sous haute-pression à travers une grille à mailles extrêmement fines, garantissant une homogénéisation bien meilleure que celle obtenue avec un robot ménager.
Dans son livre « La Panacée Originelle » aux éditions Michel Dumestre, le docteur Levy, cardiologue américain spécialiste de la vitamine C, estime que sa forme liposomale est dix fois plus active que sa forme intraveineuse et qu’elle ne provoque aucun effet indésirable grave. Les posologies suivantes sont suggérées à partir de ses recherches et des retour utilisateurs.
Pour un maximum d’efficacité, la vitamine C liposomale doit être absorbée 15 minutes avant chaque repas.
Prise avec du soufre organique la vitamine C liposomale est particulièrement efficace contre la douleur.
Les engrais chimiques utilisés massivement négligent le magnésium et brûlent une majorité de la vie bactériologique qui sert de relais aux radicelles pour assimiler les minéraux. Comme le magnésium intervient dans de multiples métabolismes de transformation, les plantes sont fragilisées, tombent malades, et leurs carences se transmettent aux animaux et à l’homme (hors les circuits biologiques).
Le raffinage des aliments aggrave le problème en réduisant encore l’apport en magnésium. Dans la farine blanche, 80 % du magnésium des grains sont perdus ; quand la mélasse est séparée du sucre 98 % sont perdus ; quand les légumes sont bouillis, le magnésium en est éliminé…
Enfin, de nombreux médicaments comme les pilules contraceptives, les produits contre l’asthme, les antibiotiques, la cortisone, les phosphates des boissons gazeuses et les édulcorants (aspartame), entraînent une carence supplémentaire du magnésium dans l’organisme.
De plus, le magnésium naturel qu’on absorbe dans les aliments n’est assimilé qu’à environ 30 % par l’organisme. En effet, la plus grande partie du magnésium ingéré est éliminée par le système gastro-intestinal avant que l’organisme n’ait eu le temps d’en bénéficier.
Une carence en magnésium entraîne de nombreuses conséquences négatives et souvent graves sur le métabolisme car :
• il participe au premier chef à la transmission de l’influx nerveux et sans lui, l’organisme ne peut pas créer d’énergie sous la forme d’adénosine triphosphate,
• il permet de lutter contre le stress en modulant la réactivité de l’organisme, par exemple en agissant sur la sérotonine,
• il participe au bon fonctionnement cognitif, notamment au maintien d’une bonne mémoire,
• il participe à la formation des os et des dents, et contribue à fixer le calcium sur les os,
• il joue un rôle dans la production de l’énergie car il intervient dans le métabolisme du glucose et dans la synthèse des protéines et des lipides,
• il joue un rôle primordial dans la contraction musculaire et le maintien du rythme cardiaque,
• il agit indirectement en tant qu’antioxydant en participant, entre autres, à la synthèse du glutathion (l’antioxydant le plus puissant de l’organisme),
• il stimule le système immunitaire,
• il a un effet antiallergique et anti-inflammatoire,
• il participe à la régulation de la glycémie et à la sensibilité à l’insuline (très utile pour la prévention du diabète de type 2),
• il agit sur le métabolisme de la plupart des minéraux indispensables à la santé, donc sa carence empêche la bonne absorption de minéraux comme le calcium, le potassium, le zinc, le phosphore, le fer, le sodium, l’acétylcholine…
• il participe à une multitude de réactions enzymatiques partout dans le corps.
Chez les humains, la jauge de vie est le pH du sang dont le taux doit être de 7,35 à 7,4 (légèrement alcalin). Le taux de 7,0 est une véritable ligne de partage de la vie. Un pH acide, avec des taux inférieurs, engendre non seulement les maladies physiques, mais également les angoisses et le stress qui provoquent des maladies. En dessous d’un pH de 7, on peut s’attendre à terme à la maladie, l’infirmité, l’activité affaiblie du corps, de l’esprit, et à un décès précoce et souvent douloureux. Malheureusement, on constate une dérive de plus en plus nette vers un « monde acide » dû à notre mode de vie actuel.
Le magnésium en quantité suffisante dans l’organisme y agit positivement sur l’équilibre acido-basique. Le bisglycinate de magnésium chélaté à 10 % de magnésium élément offre l’acheminement le plus rapide et le plus efficace du magnésium dans l’organisme. Une réaction légèrement acidifiante du glycinate sur le pH de l’intestin lui permet d’être parfaitement absorbé. L’intestin achemine alors ce magnésium associé au glycinate, qui est alcalin, vers le sang qui est sa destination finale.
Le principe est le suivant : les sels minéraux alcalinisants associés à un acide faible (comme le carbonate, le citrate, le bi-tartrate, etc.) sont capables de convertir des acides forts accumulés dans nos tissus en acides faibles. Ceux-ci peuvent alors rejoindre le sang qui a une capacité constante d’élimination de ces acides faibles. On peut ainsi agir de façon continue, et efficace, sur l’équilibre acido-basique général de l’organisme.
Cette action équilibrante sbeur le pH du sang est une des plus intéressantes du bisglycinate de magnésium chélaté.
Sous la forme chélatée, le bisglycinate de magnésium est beaucoup mieux absorbé par l’organisme. Il devient biodisponible en raison de son faible poids moléculaire, qui en fait un transporteur hautement assimilable, et il a une très bonne tolérance digestive. De plus, la glycine du bisglycinate associée au magnésium a des vertus calmantes et relaxantes.
Un des facteurs importants qui conditionnent la biodisponibilité d’un magnésium sous forme de complément, c’est sa solubilité. Or les sels organiques sont bien plus solubles que les sels inorganiques.
Les plantes résolvent le problème de la réactivité des minéraux en créant des complexes minéraux, c’est ce qu’on appelle la chélation. Quand les humains mangent des végétaux et des animaux, et utilisent leurs divers composants pour leur nutrition, la plupart des minéraux ingérés se présentent sous la forme de chélates naturels. C’est la principale raison pour laquelle les minéraux naturels d’origine végétale sous forme organique sont beaucoup plus biodisponibles que les sels minéraux inorganiques.
La chélation est donc une façon sûre et naturelle de transporter les ions minéraux, comme ceux du magnésium, dans les organismes vivants. En fait, les chélates d’acides aminés imitent le transport naturel des minéraux depuis les sources végétales ou animales, et sont plus proches de la « forme naturelle » des minéraux que les sels minéraux inorganiques.
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Au moment de la ménopause, c’est tout l’équilibre hormonal qui est bousculé. Apparaissent alors un grand nombre de symptômes tels que les bouffées de chaleur et la fatigue chronique, mais aussi des maladies handicapantes telles que l’endométriose, ou une décalcification. Si ces troubles sont connus par la plupart des femmes, une sorte de fatalisme semble s’être emparée du corps médical qui laisse à penser que ces symptômes font partie d’un processus « normal ». La réponse actuelle consiste majoritairement à une complémentation en progestatifs industriels. Ces molécules chimiques présentent de nombreux risques et effets indésirables même s’ils sont largement prescrits à travers le Monde. Des experts en nutrition, tels que le Michel Dogna, tentent de dénoncer ces progestatifs chimiques aux effets dévastateurs et de proposer aux femmes des alternatives naturelles sans danger pour leur santé.
Les compléments hormonaux spécifiques sont appelés précurseurs hormonaux. Leur rôle n’est pas de remplacer les hormones manquantes, mais de redonner au corps sa capacité à les produire à nouveau. Menophyt est tout simplement le premier complément naturel qui rétablit l’équilibre hormonal des femmes sans effets secondaires. Menophyt est un complément alimentaire formulé à base de YAM et de CIMIFUGA.
Le YAM ou igname sauvage est une plante tropicale. On utilise ses racines qui rappellent la patate douce d’abord à des fins alimentaires. L’utilisation du Yam à visée thérapeutique est connue depuis les Aztèques. Au Mexique, l’igname sauvage est employée pour soulager les rhumatismes, mais aussi pour prévenir les fausses couches. Dès les années 40, Russel Marker établit que le Yam est un précurseur hormonal riche en diosgénine et en dioscine. Cette découverte servira de fondement à la fabrication de la pilule contraceptive. Le Yam a pour propriété d’augmenter le taux des hormones surrénaliennes et sexuelles telles que la progestérone ou la DHEA. Il permet de rétablir l’équilibre progestérones/œstrogènes.
La CIMIFUGA est un antispasmodique du système reproducteur naturel qui a un effet modérateur sur le système nerveux. Cet anti-inflammatoire est aussi largement utilisé pour soulager les douleurs rhumatismales. Mais, la cimifuga est également un substitutif hormonal utilisé depuis les années 50 pour lutter contre les troubles liés à la ménopause. La plante active la fabrication d’œstrogènes apaisant bouffées de chaleur et dépression. Elle est également indiquée en période menstruelle pour soulager les douleurs abdominales et réduire les inflammations vaginales.
Menophyt peut être utilisé à différents moments de la vie des femmes et apportera des bienfaits différents. Pendant la ménopause, il influera sur les bouffées de chaleur et l’irritabilité réduisant de manière significative ces symptômes sans gravité, mais très handicapants. Pris durant les 10 jours qui précèdent les règles, Menophyt permet de limiter le syndrome prémenstruel. Il est également parfaitement efficace pour traiter un problème de kyste ovarien ou de fibrome en quelques mois. Ce complément hormonal a aussi prouvé son efficacité dans les cas de seins fibrokystique et même en cas d’ostéoporose.
Michel Dogna est un nutritionniste réputé pour ses opinions tranchées et son franc parlé. Dans un article du 5 avril 2017, il décrit sa vision des troubles hormonaux féminins et de leur prise en charge actuelle. Pour lui, l’hormonothérapie naturelle est la seule réponse adéquate aux déséquilibres hormonaux féminins.
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Nous sommes presque tous touchés par une carence plus ou moins importante en Vitamine C. En cause : notre alimentation et la faible teneur en vitamine des fruits et légumes de nos jours. La pollution, le stress, la consommation de médicaments sont des facteurs aggravants. En obligeant le corps à une surconsommation de vitamine C, ils augmentent la sévérité de la carence.
La forme la plus grave de la carence en vitamine C est une maladie heureusement rare, le scorbut. Connu depuis les Égyptiens, le scorbut a décimé les marins pendant des siècles. Ceux-ci, privés de fruits et légumes frais des mois de mer durant, mourraient à petit feu d’un mal inconnu. Dents qui se déchaussent, gencives purulentes et hémorragies sont les principaux symptômes de la maladie. Dès 1604, un remède semble avoir été trouvé puisqu’il est dit dans la Description du premier voyage fait aux Indes Orientales de François de Vitré, célèbre navigateur, qu’« il n’y a rien de meilleur pour se préserver de cette maladie que de prendre souvent du jus de Citron ou d’Orange ». Il faudra attendre 1913 et la nomenclature des vitamines du biochimiste américain Elmer McCollum pour identifier la vitamine C comme la « substance qui protège du scorbut ».
Si le scorbut est aujourd’hui extrêmement rare, les carences en vitamine C montrent une recrudescence importante.
Ces manques aussi appelés hypovitaminoses causent de nombreux troubles : amaigrissement, maux de tête, douleurs osseuses, et même dans les cas les plus avancés, baisse de l’immunité, ou problèmes hémorragiques. Une carence en vitamine C peut donc être responsable d’un déséquilibre du corps et conduire à la maladie ou être un facteur aggravant d’un cancer par exemple. On parle alors d’hypoascorbémie.
L’hypoascorbémie est une affection qui se matérialise par une carence importante en Vitamine C. Son nom lui a été donné dans les années 50 par Irwin Stone, chimiste américain, et qui a consacré sa vie à l’étude des ascorbates. Il défend la thèse selon laquelle ces vitamines ne devraient pas être consommées en quantités infinies décimales, mais administrées en dose massive pour prévenir l’hypoascorbémie. Stone a notamment inspiré le prix Nobel Linus Pauling, qui fondera sur ses recherches un des plus importants travaux de sa carrière : la médecine orthomoléculaire.
Le sujet de recherche de Stone n’est pas la vitamine C, mais les ascorbates, des sels minéraux issus de l’acide ascorbique ainsi débarrassés de son acidité. On trouve des ascorbates de potassium, de calcium ou de magnésium. Ces formes hydrosolubles de la vitamine C sont des antioxydants puissants largement utilisés comme conservateurs alimentaires. Employés pour traiter une carence en vitamine C, ils montrent des propriétés exceptionnelles.
Les vertus de la vitamine C pour renforcer l’immunité ne sont plus à démontrer. Elle est connue pour permettre d’affronter l’hiver en se prémunissant des coups de froid ou pour se protéger des virus comme la grippe. Présente dans les pharmacies et à la télévision dès le mois de septembre, on a de cesse de vanter ces mérites pour son action revivifiante qui permet entre autres de lutter contre la fatigue hivernale. Mais savez-vous qu’en réalité elle intervient dans de nombreux processus vitaux ? La vitamine C n’est pas seulement un booster d’énergie à consommer en hiver, c’est un anti oxydant puissant qui catalyse de multiples métabolismes vitaux. Et en cas de carence importante, c’est tout votre corps qui commence à dysfonctionné.
La vitamine C neutralise les radicaux libres responsables du vieillissement prématuré des cellules. Elle stimule les fonctions cérébrales, ralentit le vieillissement et a un véritable pourvoir défatiguant. Elle joue un rôle de protecteur en augmentant les résistances de l’organisme tant face aux virus, qu’aux bactéries ou aux réactions auto-immunes de type allergique ou inflammatoire. Elle vous protège littéralement des attaques tant à l’extérieur qu’à l’intérieur de votre corps. Elle améliore le tonus des parois capillaires, et stimule la production de globules rouges. Sans vitamine C la transformation de la vitamine B9 en acide folinique est impossible, ayant pour conséquence une anémie. Son rôle dans la synthèse du collagène est fondamental. L’acide ascorbique réduit la nocivité des métaux lourds et c’est également un puissant antalgique.
Vous l’aurez compris, cette vitamine possède bien des vertus, c’est d’ailleurs pourquoi elle est largement utilisée dans les traitements du cancer, en complément de la chimiothérapie dont elle limite les effets secondaires, mais également dans les formes graves de diabètes ou d’intoxications. On connait aujourd’hui l’action des radicaux libres sur notre ADN notamment grâce à des études menées sur les travailleurs de Fukushima. Ces recherches ont prouvé que la vitamine C avait freiné la détérioration de l’ADN et évité l’augmentation du risque de cancer chez les sujets qui en avaient consommé en doses massives. Elle est également utilisée pour combattre l’helicobacter pylori prévenant ainsi ulcères et cancers de l’estomac.
Les avis divergent sur la question l’apport journalier conseillé de Vitamine C. Un peu partout en Europe et au Canada, les nutritionnistes recommandent un ANR (Apport Nutritionnel Recommandé) de 90 mg par jour alors que leurs collègues français préconisent une dose minimale journalière de 110 mg. Tous s’accordent tout de même sur un point : si vous fumez, vous devez majorer la dose de vitamine C quotidienne d’au moins 35 mg.
Des études récentes tendent à montrer que les apports recommandés sont bien insuffisants et que la dose idéale serait de 200 mg chaque jour. Selon une étude, publiée dans la revue Critical in food science and nutrition en 2012, ce n’est qu’à partir de ce seuil que les effets revitalisants et anti oxydants de la vitamine C serait pleinement bénéfiques. Linus Pauling, prix Nobel de chimie américain, préconisait déjà dans les années 70 des consommations très élevées de vitamine C. Dans un ouvrage intitulé My love affair with vitamin C il recommande des doses massives, allant jusqu’à plusieurs grammes en prise journalière, dans le cas de patients atteins de cancer. Aujourd’hui quand on parle de cure de vitamine C, il s’agit d’une période pendant laquelle les doses vont varier en fonction de la pathologie.
En cas de maladie grave ou de diabète la dose recommandée est de l’ordre de 5 g par jour jusqu’à amélioration. Pour un rhume, il est conseillé de prendre une dose de 6 g le premier jour puis 3 grammes jusqu’à la fin des symptômes. Dans les cas de cancer, la dose de Laroscorbine injectable peut aller jusqu’à plusieurs dizaines de grammes par séance, mais le traitement est administré sous surveillance médicale. Si vous souffrez d’une crise de goutte, prenez 8 g par jour de vitamine C pendant 8 jours et vous constaterez une nette réduction de votre concentration d’acide urique sanguin. Si vous êtes fumeur, vous devriez en consommer 4 g par jour rien que pour combler les pertes et reconstituer les réserves. Une consommation régulière permet également de neutraliser le benzopyrène et les nitrosamines, substances cancérigènes contenues dans la cigarette. En cas de stress important ou de période de fatigue intense, 3 à 5 grammes par jours semblent suffisants. Vous devez alors augmenter la dose progressivement en commençant avec 2 grammes et en faisant une pause dès que vos selles se ramollissent. Une augmentation rapide du dosage peut déclencher certains phénomènes de détoxification comme des diarrhées. Le mieux est d’attendre que les choses reviennent à la normale avant de recommencer à augmenter la dose doucement.
La Vitamine C ou Acide ascorbique est une vitamine que le corps humain est incapable de synthétiser. Vous devez donc trouver, notamment dans votre alimentation, des apports suffisants au fonctionnement normal de notre corps. Mais lorsque cela ne suffit pas, il existe plusieurs formes de vitamine C qui permettent de compléter la dose journalière.
La vitamine C naturelle est de plus en plus difficile à trouver dans l’alimentation puisque les aliments ont perdu en quelques dizaines d’années une grande partie de leur valeur nutritionnelle. Les laboratoires proposent donc aujourd’hui des compléments alimentaires, à base de fruits le plus souvent, pour compléter l’apport journalier. L’acerola est très certainement le fruit le plus réputé pour son apport en vitamine C et pour cause, cette petite cerise contient 20 à 30 fois plus de vitamine C qu’une orange. L’avantage de la vitamine C naturelle des fruits et légumes est qu’elle est entourée d’autres nutriments tout aussi intéressants. L’acerola par exemple, contient également des flavonoïdes qui participent à l’assimilation de l’acide ascorbique, et ont également un rôle protecteur sur les vaisseaux sanguins.
La vitamine C synthétique que vous trouvez sur le marché a strictement les mêmes effets que la vitamine C dite naturelle à condition qu’elle soit Levogyre, on parle alors de L-ascorbique. La synthétisation permet d’extraire 2 molécules différentes : L-ascorbique et D-ascorbique, mais seule la première est assimilable par notre organisme, la seconde présentant même des effets néfastes. Certains compléments sont composés de 50 % de vitamine Levogyre et de 50 % de Dextrogyre. Dans ce cas, pour un apport équivalent de vitamine C à l’organisme, vous devrez doubler votre consommation.
Sous forme injectable, elle porte le nom de Laroscorbine et a largement prouvé son efficacité, mais se limite à des usages médicaux puisqu’elle doit être prescrite et administrée par un praticien de santé. Elle sert exclusivement en compléments des traitements de certaines pathologies très lourdes comme une intoxication grave ou un cancer. Cette forme intraveineuse permet des traitements avec des dosages importants, de plusieurs dizaines de grammes d’acide ascorbique par séance.
Liposomale, la vitamine C se présente en poudre, en cachet ou liquide, facile à utiliser. La forme doit son nom à l’emploi de liposomes, des petits sacs constitués de lipides qui servent à transporter la vitamine là où elle sera vraiment efficace, à savoir au cœur des cellules. Elle permet une assimilation optimale de l’acide ascorbique par l’organisme. Grâce au liposome, la vitamine est relâchée au cœur de la cellule, pour un effet maximal et un minimum de pertes. La forme liposomale est constituée d’ascorbates, une forme hydrosoluble de vitamine C qui a pour principale vertu de faciliter son absorption. Ils sont le plus souvent couplés avec des flavonoïdes, connus pour participer au processus d’assimilation de la vitamine C dans l’organisme. La vitamine C Liposomale combine des ascorbates et des flavonoïdes comme la forme naturelle contenue dans les fruits et légumes frais. Sa composition lui confère une efficacité renforcée, jusqu’à 4 fois supérieure à celle d’une vitamine C basique. Les ascorbates, moins acides, sont également beaucoup mieux tolérés au niveau intestinal. Les liposomes sont également utilisés en cosmétique pour leur capacité à diffuser la vitamine C au cœur des cellules, rendant son action anti radicaux libres bien plus efficace pour combattre les effets du vieillissement.
La Vitamine C utilise la même porte que le sucre pour pénétrer dans nos cellules donc moins vous mangez sucré et mieux vous pourrez l’absorber. Et si vous entreprenez un régime riche en graisse et pauvre en glucides, de type cétogène, vous pourrez même vous passer complètement de Vitamine C en quelques semaines seulement.
Il est assez facile de trouver de la vitamine naturelle dans les fruits et légumes. Les 10 aliments qui en contiennent le plus sont dans l’ordre la cerise Acerola, la baie d’églantier, la goyave, le cassis, le poivron rouge, le kiwi, le chou de Bruxelles, la fraise, le brocoli cuit et l’orange. La cerise Acerola est difficile à rencontrer dans nos contrées tout comme la baie d’églantier. Quant aux autres, même consommés en quantité, ils ne suffiraient pas à vous apporter une dose nécessaire pour une vraie cure de vitamine C. Ces aliments, pour conserver leurs nutriments, doivent être ingérés crus à l’exception du brocoli. L’acide ascorbique est l’une des vitamines les plus instables, sensible à la chaleur, mais aussi à la lumière. La meilleure façon d’en garantir les bienfaits est de composer de délicieux jus vitaminés, et de les absorber immédiatement après pressage. Cependant, la consommation massive d’aliments crus peut causer de nombreux désagrément, surtout si vous êtes un peu fragile de l’intestin. De plus,les doses de vitamine C absorbées seraient dérisoires, à moins d’en consommer plusieurs litres dans la journée.
Pour une cure efficace, d’un minimum de 2 ou 3 grammes de vitamine C au quotidien, mieux vaut se tourner vers les compléments alimentaires. Cachets, poudre ou liquide, à vous de trouver la formule qui vous convient. Un des avantages de la vitamine C est que vous pouvez en consommer des doses massives sans jamais risquer de surdosage. Si vous en prenez trop et que votre corps ne peut pas l’absorber, il va tout simplement le rejeter dans vos urines.
L’américain, Linus Pauling est le père de la médecine orthomoléculaire. Son travail sur la Vitamine C l’a poussé à inventer une médecine « correcte biologiquement » en opposition aux traitements médicamenteux qu’il considère comme « biologiquement incorrects », car « étrangers au corps humain ». La thérapie orthomoléculaire propose donc une approche visant à envoyer au cœur de la cellule des quantités massives de vitamines afin d’enrayer les carences et leurs effets dévastateurs.
Le liposome est une vésicule nanométrique composée de lipides qui sert à transporter les principes actifs, comme la Vitamine C. Il est non seulement apte à traverser la membrane cellulaire, mais également à libérer le produit qu’il contient au cœur de la cellule. Composé de lipides, le liposome est capable de résister aux attaques enzymatiques et possède donc une capacité innée à protéger les principes actifs qu’il contient, les rendant moins fragiles à la digestion.
Cette minuscule vésicule lipidique constitue aujourd’hui le fer de lance de la thérapie orthomoléculaire puisqu’elle permet de diffuser la vitamine au cœur de la cellule pour une absorption parfaite, on parle alors de vitamine liposomale. On la voit également apparaitre en cosmétique afin de faire passer les principes actifs encapsulés jusqu’au derme pour une plus grande efficacité. Le liposome étant capable aussi de transporter des gènes, des anticorps ou des enzymes, d’autres applications sont à l’étude dans les domaines de la vaccination, du cancer et de la prometteuse thérapie génique.
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