
Charbon activé d’Apoticaria – Le charbon activé, antidote universel
Le Charbon activé d’Apoticaria est un produit à base de charbon activé, reconnu depuis des siècles comme un antidote universel contre une vaste gamme de poisons et toxines. À une époque où l’intoxication constitue un problème majeur de santé publique mondiale, il est surprenant que les vertus exceptionnelles du charbon activé, bien documentées médicalement depuis plus d’un siècle, restent méconnues du grand public et sous-exploitées dans les pratiques thérapeutiques courantes.
Qu’est-ce que le Charbon activé ?
Le Charbon activé est une poudre de charbon activé d’origine végétale, conditionnée en pots de 200 g par Apoticaria. Ce produit est fabriqué selon un procédé en deux étapes :
1. Carbonisation : Le bois est calciné à 600-900 °C en l’absence d’air, créant une structure carbonée de base.
2. Activation : Une seconde calcination, en présence de vapeur d’eau ou de gaz oxydants, développe un réseau de micropores. Ces micropores confèrent au charbon une surface de contact exceptionnelle : 1 cm³ de charbon pulvérisé offre une surface de 1 km², et 500 g contiennent 50 milliards de pores.
Cette structure explique ses capacités d’absorption hors normes : il peut capter 97 fois son volume en CO₂, 165 fois en SO₂, et 178 fois en ammoniac.
Mécanisme d’action
Le charbon activé agit comme une « pompe à poison » grâce à sa capacité d’adsorption (fixation des molécules à sa surface). Dans l’intestin, il fonctionne selon le principe de l’osmose : en captant les toxines, il libère la paroi intestinale, facilitant la désintoxication du sang et de la lymphe. Cette action est particulièrement bénéfique dans un contexte où le transit intestinal varie grandement selon les habitudes alimentaires. Par exemple, l’Africain rural élimine 80 % de son bol alimentaire en 32 heures, contre 72 heures pour un jeune Anglais et jusqu’à 15 jours pour un vieillard au régime raffiné. Le charbon accélère ce processus en éliminant les substances toxiques.
Applications du Charbon activé
Le Charbon activé est indiqué dans une multitude de situations, notamment :
- Intoxications aiguës : Stupéfiants, médicaments, métaux lourds, produits chimiques agricoles, venins (serpents, abeilles, etc.), toxines bactériennes (diphtérie, tétanos), mycotoxines.
- Problèmes digestifs : Flatulences, diarrhées nerveuses, tourista, selles nauséabondes.
- Pathologies spécifiques : Insuffisance rénale, encéphalopathie hépatique, cholestérol, jaunisse néonatale, maladie de Lyme.
- Usage quotidien : Haleine fétide, hoquet chronique, cure de désintoxication (alcool, tabac, drogues).
Posologie et mode d’emploi
Le Charbon activé se présente sous forme de poudre sans goût, à diluer dans un verre d’eau. Une cuillère à soupe équivaut à environ 5 g. Voici les recommandations :
- Intoxication sévère : 50 g pour un adulte (1 g/kg pour un enfant), renouvelable toutes les 4-6 heures pendant 1-2 jours. En cas de dose toxique inconnue (ex. tentative de suicide), administrer 100-120 g d’emblée.
- Cure de drainage : 15 g/jour (1 cuillère à soupe aux 3 repas) pendant 15 jours, puis 5 g/jour pendant 1 mois. Pour les enfants, utiliser des cuillères à café sur 15 jours maximum.
- Cas spécifiques : 1 g neutralise 60 ml de whisky ; pour les champignons vénéneux, suivre les doses d’intoxication sévère tout en contactant un centre antipoison.
Il est crucial de boire abondamment, car le charbon absorbe l’eau et peut provoquer une constipation.
Précautions et contre-indications
Le Charbon activé est sûr, mais il est recommandé de ne pas dépasser 15 jours de cure. Il n’absorbe pas les nutriments essentiels (calcium, fer, vitamines, etc.), mais peut neutraliser certains médicaments, notamment les contraceptifs oraux. Un intervalle de 2 heures est recommandé entre la prise de charbon et celle d’un médicament. En cas de constipation, un laxatif doux peut être utilisé. Il est également sans danger pendant la grossesse.
Efficacité prouvée
Des études montrent que 1 g de charbon peut capter 35 mg d’urée, 9 mg de créatinine, ou 8 mg d’acide urique, soulignant son rôle dans la détoxification. Plus de 500 articles médicaux en anglais, publiés ces 10 dernières années, ont recensé 10 000 références scientifiques sur ses bienfaits.
Dans la boutique